LA JUSTICE DÉVOYÉE
DE LA RIPOUXBLIQUE FRANÇAISE

OU LA VOLONTÉ DE NUIRE JUSQU'AU BOUT
La famille MEDINA réclame justice depuis près de six ans pour les très graves et récurrents délits pénaux décrits sur la page « François REBSAMEN et la tombe du soldat MEDINA - Partie 1 : LES FAITS - LES AUTEURS ». Et qu’obtient-elle depuis tout ce temps ? Le mensonge et la tromperie, la manipulation mentale, les tentatives d’intimidation, et bien plus encore. Mais aussi, une magouille entre francs maçons comme certains d’entre eux savent très bien les organiser ! Ce n’est d’ailleurs pas la première saloperie de leur part qui touche ma famille ! L'un des leurs ayant déjà détourné la succession notariale de notre famille au profit d'une autre, avec la complicité de la mafia judiciaire qui est en place à Nancy ! Mais cette fois, ces profanations de sépultures à répétition, c'est vraiment le dossier de trop, celui qui fait déborder le vase de l'humainement  supportable !
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LES CONTENUS PRESENTS SUR CETTE PAGE, DONT CERTAINS SONT EMPRUNTES, NE FONT L'OBJET D'AUCUNE EXPLOITATION COMMERCIALE DE QUELQUE SORTE QUE CE SOIT. ILS SONT ICI AU SEUL TITRE D'ILLUSTRATION DE FAITS ET DANS LE BUT LEGITIME DE MENER A LA MANIFESTATION DE LA VERITE ET A UNE CONDAMNATION MERITEE DE CES DELITS ET CRIMES, TOTALEMENT INADMISSIBLES AU XXIème SIECLE DANS UN ETAT DE DROIT.

© FRANCK MEDINA 2011-2015 - TOUS DROITS RÉSERVÉS
Compte tenu du nombre de personnes impliquées dans cette affaire et du caractère très structuré de celle-ci, il ne fait plus aucun doute que toutes ces personnes n’ont pu agir isolément de la sorte, mais y ont été contraintes par des pressions, des injonctions et une manœuvre politique venant de très haut. L’omerta d’Etat instaurée sur cette scabreuse affaire m’a d’ailleurs été depuis longtemps confirmée par des sources extrêmement sûres. Une cellule de crise concernant cette affaire mettant gravement en danger le socialiste François REBSAMEN, qui devait être un temps Ministre de François HOLLANDE, a d’ailleurs cours dans les beaux bureaux du Pouvoir !

Et si tout ceci a été très bien organisé, en très hauts lieux, c’est pour une raison fort simple à comprendre : Il s’agissait de protéger et mettre, dès le départ, à l’abri de ma plainte et de poursuites pénales graves le principal mis en cause dans l’affaire : François REBSAMEN, Maire de Dijon et surtout, franc maçon hautement gradé parmi ses Frères et ami, rien de moins que cela, du Président HOLLANDE et de la Garde des Sceaux Christiane TAUBIRA qui est aussi la Chef de tous les Parquets de France ! Avec ça, on se demande comment on pourrait obtenir ici une justice neutre et impartiale ! Surtout si l'on ajoute que les uns sont ceux qui nomment les autres et nomment donc ceux qui vont travailler à protéger d'abord leurs intérêts, c'est logique ! Il est d’ailleurs amusant (ou affligeant ?!) de voir que les nominés, par mimétisme, usent exactement des mêmes méthodes déloyales et tordues que ceux qui les portent à leurs hautes fonctions ! L'adage nous le rappelle : "Qui se ressemble s'assemble" !

Dans cette affaire de tombes profanées, il s’agissait donc de protéger non seulement le maire, mais aussi tous ses Services, car dans ce genre de cas, hélas bien trop fréquents, il est évident que tout le monde se tient par la barbichette et que si l’un des coupables parle, c’est tout le réseau qui s’écroule et qu’il faut donc s’assurer ardemment de contenir le silence de tous ! Comme toujours, les Frères de l'ombre agissent sous couvert du plus grand secret .'. ! Ce sont eux-mêmes qui le disent !

Vous verrez, à travers cette page, que François REBSAMEN est accusé par un célèbre journal d’exercer des pressions sur des Magistrats qui essaient d’enquêter sur les comptes de la Ville de Dijon, en les menaçant notamment à travers des allusions à peine déguisées du genre : « Attention, vous avez une carrière à faire » !
Extrait de "La Gazette de Côte d'Or", évoquant l'article de Mediapart en date du 3 Avril 2015

Notez que lorsque la Procureure de Dijon, Marie-Christine TARRARE, a été informée de l'existence de cet article par mes soins, tous les présentoirs de la ville de Dijon, encore remplis de milliers de numéros de la Gazette contenant cet article, ont été entièrement vidés dans les 48 heures qui ont suivi, alors que ce numéro avait encore une date de validité d'une semaine supplémentaire !!! Je crois que la volonté de censure qui règne à Dijon est clairement démontrée et... Organisée !

Sachez enfin que les méthodes de François REBSAMEN, décrites dans l'article ci-dessus, sont assez proches de ce qui m'a été rapporté,  au regard de son attitude envers mon dossier de tombes profanées, dans lequel l'intéressé aurait "agi" par coups de téléphone, ici et là, pour en faire étouffer les faits ! Par ailleurs, REBSAMEN a été accusé, à maintes reprises, par des Dijonnais, des Associations, d'exercer une censure sur tout propos qui lui est défavorable et d'avoir "vendu son âme"...

Il est aussi à noter que "La Gazette de Côte d'Or" s'est attirée les foudres de l'intéressé, après la publication de cet article sur le plan local. On constate d'ailleurs que ce journal gratuit qui existait à Dijon depuis de très nombreuses années a subitement cessé sa publication, après cela. Un autre journal l'a remplacé, mais sous une forme et un titre différents... Cherchez ce qui cloche !...
En ce qui concerne les pressions que subissent régulièrement les Magistrats de la part du Pouvoir en France, quelle que soit d’ailleurs sa sensibilité politique du moment, il y a longtemps que ceci est un secret de polichinelle dans la vox populi. Nous le savons aussi d’autant mieux et plus légitimement de la bouche même de Madame Céline PARISOT, Secrétaire générale de l’Union Syndicale des Magistrats ! Ecoutez, c'est édifiant !... (Images : AFP)
Ce que nous révèle Madame PARISOT dans cette vidéo est tout à fait intéressant et révélateur de la grosse magouille qui a cours en France depuis bien trop longtemps en matière de "justice". Elle nous confirme ici que, non seulement l'indépendance de la justice est en France une pure utopie, mais qu'en plus, la justice y est totalement politisée. Ce qui est encore plus grave, car on ne voit pas comment nous pourrions obtenir la neutralité et l'impartialité dans une telle mascarade organisée ! Surtout dans mon affaire avec REBSAMEN !

Ah oui, pour le folklore populaire, ils ne cessent de répéter qu'ils ne travaillent pas du tout ensemble et ne sont pas clairement de combine entre eux... Voyez par vous-mêmes ce qu'il en est ! Regardez ce spectacle, les regards de complaisance, les poignées de mains symboliques, la suffisance et la satisfaction qui émanent de leur visage... Rien de mieux que des photos pour révéler l'âme de l'autre !

Grand moment de complicité entre Monsieur MARIN et Madame TAUBIRA, c'est-à-dire entre Monsieur le Procureur général près la Cour de Cassation et Madame la Garde des Sceaux ! En quelque sorte, un instantané de grande communion entre la haute Magistrature et le Pouvoir ! Et les regards ne trompent pas ! Mr MARIN, tellement ému s’en pince les lèvres ! Face à sa V.'. S.'. Christiane TAUBIRA, il est vrai que c’est un moment forcément très solennel et... Fraternel !
La Magistrature rit aux éclats avec le Président HOLLANDE en personne ! Monsieur le Procureur général MARIN rit tellement qu’il en est, on le voit bien ici, presque aussi rouge que son habit ! C’est décidément l’amour fou entre le Pouvoir et la Magistrature qui, officiellement, ne travaillent pas du tout ensemble… Pour la pauvre et naïve populace, en tout cas !
Poignée de mains hautement symbolique entre le Pouvoir et la Magistrature, sous le regard toujours si bienveillant de Monsieur Jean-Claude MARIN ! Quelle solennité dans l’échange de regards ! Qui va encore croire bêtement que tous ceux là ne travaillent pas ensemble, main dans la main, à la protection de leurs intérêts d'abord, au détriment des nôtres ?! Qui ?! Nous ne sommes pas plus bêtes que nous en avons l'air, tout de même !!!...
 
Pour savoir et comprendre, il suffit souvent de regarder attentivement. Regardez bien.
Ici, tout est dit !
Nombreux sont ceux qui se revendiquent du même courant philosophique que cet homme, mais hélas, peu sont ceux qui honorent sa pensée et ses valeurs ! Et le pire, c'est que le Baron de MONTESQUIEU était l'un des leurs, un franc maçon ! Ca vaut le coup !... Ah, c'est certain, il est désormais très loin, le temps originel des vraies "lumières" !...

Les personnages qui ont abreuvé ma famille de torchons d'inepties et de mensonges honteux en guise d'actes de justice se disent juges ! Il est vrai qu'ils en portent la robe !... Mais il leur en manque assurément l’étoffe !
ET MAINTENANT, VOICI LE BEAU PALMARÈS DES ACTEURS DE CETTE FARCE DE JUSTICE QUI DURE DÉJÀ DEPUIS PLUS D'UNE DEMI DÉCENNIE !

À CANNES, ILS MÉRITERAIENT TOUS LA PALME D'OR DES MEILLEURS COMÉDIENS ET SURTOUT MENTEURS - MANIPULATEURS DE LEUR TEMPS !
Monsieur Eric LALLEMENT, Procureur.
Sur notre affaire de 2010 à 2012

Plus prudent que les autres ou peut-être moins courageux, il choisira, lui, le silence total dès le départ. Il prendra soin de ne jamais entrer une seule fois en contact avec les victimes et ira même jusqu'à classer sans suite notre affaire, un mois seulement après notre première audition d'Août 2010, sans jamais enquêter sur rien du tout et sans jamais nous informer au minimum de sa décision ! En clair, il n'aura aucun respect pour les victimes, car compte tenu de l'émotion suscitée par le sacrilège perpétré au cimetière de Dijon, la bienséan-
-ce et une dose de courtoisie élémentaire auraient voulu que ce Monsieur eût la politesse de nous écrire au moins quelques mots... Il fera même pire encore, en fermant purement et simplement les yeux sur les attaques récurrentes que subiront, pendant sa présence au Parquet de Dijon entre 2010 et 2012, plusieurs de nos tombes familiales, sans jamais ouvrir aucune enquête, sans rien chercher à mettre en lumière, sans agir aucunement pour faire cesser ces graves délits qui relèvent du Code Pénal, sans émettre le moindre réquisitoire supplétif que réclamait pourtant la situation hallucinante vécue au cimetière par les MEDINA. Mais tout cela peut parfaitement se comprendre : Il sait depuis le début en quoi consiste ce qui s'est produit au Cimetière des Péjoces à Dijon. Et comme j'ai mes petites entrées partout, y compris au Tribunal de notre ville, il m'a été très vite rapporté comment ce monsieur avait traité notre dossier, c'est à dire avec le plus total dédain, la plus totale indifférence, et à quel point cette affaire sulfureuse l'avait mis dans un profond "embarras". S'il est vrai que sa fonction de Procureur lui a fait oublier qu'elle ne le dispense pas d'être correct vis à vis des victimes de délits graves, notamment en les traitant comme des êtres humains qui attendent des réponses et à qui l'on parle avec des mots clairs, il est en revanche certain que dès le début, il n'oubliera pas de demander à un policier franc maçon de procéder à toutes les auditions concernant François REBSAMEN. Bien sûr : Il vaut mieux demander à un "Vénérable Frère" (!!!) de garder en sûreté entre ses mains, bien verrouillé et sous contrôle, un dossier mettant gravement en cause un autre "Vénérable Frère" ! C'est donc ainsi que fonctionnent, chaque jour que Dieu fait, les choses dans cette foutue Ripouxblique totalement vérolée par la magouille !...
Monsieur Christian DE LAVERNÉE,
Préfet de la Côte d'Or.

En poste à Dijon en 2010

Ce Monsieur, quant à lui, ne trouvera rien de mieux, pour voler au secours du franc maçon REBSAMEN, que de m'écrire un magnifique courrier MENSONGER que ma famille possède toujours, dans lequel il reprend toutes les inepties que les Services de REBSAMEN ont inventées pour se sortir de leur fâcheux pétrin dans lequel ils se sont seuls fourrés, déclarant notamment qu'aucune tombe n'a été relevée dans le polygone où repos(ait) mon grand-père, ce qui s'avèrera totalement faux par la suite...
Quand les choses ont commencé à mal tourner pour ce beau monde, c'est à dire quand j'ai montré que je ne lâcherai pas l'affaire et que j'ai constitué pour cela une partie civile avec dépôt de plainte, Monsieur DE LAVERNÉE a été muté dans le même temps. D'abord en Lorraine, puis dans la Loire. Que Monsieur DE LAVERNÉE soit bien conscient que, quel que soit l'endroit où il pourra être muté à l'avenir, cela n'effacera en rien, pour la famille MEDINA, le fait que sous son autorité de Préfet, il a menti de manière éhontée et délibérée aux victimes de faits dégueulasses, gravissimes et surtout, totalement illégaux ! QUE LA HONTE SOIT A JAMAIS AU-DESSUS DE LUI ET DE TOUS LES AUTRES !
Madame Marie-Christine TARRARE,
Procureure, toujours en poste à Dijon.
Sur notre affaire de 2012 à 2015


On dit que les femmes ont une sensibilité supérieure à celle des hommes. Qui sait, Madame TARRARE aura peut-être eu, à notre égard, ce minimum de sentiments qui a fait cruellement défaut aux autres. Pour autant, ce sont aussi ses sentiments qui l'ont perdue, à travers son seul et unique courrier, en date du 1er Juin 2015.

De sa prise de fonction à Dijon en Novembre 2012, jusqu'à Juin 2015, Madame
TARRARE aura agi à notre égard comme
l'a fait son prédécesseur, Eric LALLEMENT... C'est à dire sans jamais entrer en contact avec les victimes, par quelque moyen que ce fût ! Voilà qui ajoute bien au côté scabreux et particulièrement LOUCHE de toute cette affaire de tombes souillées !

Mais il y a plus ennuyeux et inquiétant encore : En Juin 2012, Madame TARRARE est encore en poste au Parquet de Bourg-en-Bresse. Elle y reçoit, à ce moment là en grande pompe, sa "Vénérable Soeur" et pas n'importe laquelle... J'ai nommé : Christiane TAUBIRA, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux !
Edifiant ! Comme on le voit sur ces photos de la Cour d'Appel de Bourg-en-Bresse datant de Juin 2012, c'est même Madame TARRARE qui guide personnellement la Garde des Sceaux dans le grand escalier du tribunal !

Les deux femmes s'entretiennent donc en Juin 2012 et, comme par hasard, cinq petits mois plus tard, en Novembre 2012, Madame TARRARE obtient sa mutation au Parquet de... Roulement de tambour... Dijon !!! Parmi les deux cents tribunaux qui existent dans toute la France, c'est spécifiquement à Dijon que Madame TARRARE est mutée pour y être Procureure. Ben voyons ! Or, à ce moment là, François REBSAMEN, Maire de Dijon, est encore pressenti pour être futur Ministre du Gouvernement sous la Présidence de son grand copain François HOLLANDE ! Hélas, il est en grave difficulté avec l'affaire MEDINA qui est au même moment en cours de procédure et se traîne inlassablement dans les couloirs du tribunal où elle se trouve au point mort total. "Que faire ?", se dit alors la "Vénérable Soeur" TAUBIRA pour sauver son "Vénérable Frère" REBSAMEN ? Envoyer l'une des leurs sur place, bien sûr, pour se débarrasser du vilain dossier gênant et étouffer dans l'oeuf son contenu. Et c'est bien ce que Madame TARRARE s'empressera de faire dès son arrivée à Dijon où elle demandera, dès Janvier 2013, à l'un de ses sous fifres de rédiger un tissu de mensonges et d'inepties pathétiques qu'elle aura le culot de faire appeler "réquisitoire définitif de non lieu" ! UNE HONTE !

En 2015, Madame TARRARE qui croyait s'être débarrassée de la famille MEDINA et de cette pénible affaire de tombes et de dépouille mortelle outragées, me voit hélas ressurgir à la surface avec un courrier qui, visiblement, la mettra fort mal à l'aise. A tel point que, pour la première fois en trois ans, elle décidera de répondre enfin à ma lettre. Et c'est là qu'elle va commettre l'erreur d'y maintenir l'un de ses arguments de 2012 dont j'ai pu prouver qu'il s'agissait d'un mensonge total. Aussi, tout comme les précédents, la Procureure TARRARE a sciemment menti aux victimes pour protéger les intérêts éminemment politiques de l'un des siens.

En effet, Madame TARRARE a eu le culot de confirmer et maintenir le 1er Juin 2015, dans le seul et unique courrier qu'elle ait daigné nous adresser en l'espace de trois ans, qu'aucune tombe n'avait été reprise dans le secteur où se trouv(ait) la sépulture de mon grand-père.

SCOOP ! LISEZ CA ! Il n'y a pas qu'à ma famille que cette Procureure de la honte essaie de raconter des salades pour travestir la vérité à l'avantage de ses copains francs macs !!!    http://ripostelaique.com/dijon-le-procureur-tarrare-veut-faire-passer-lecraseur-islamiste-pour-un-fou.html
Voilà ce qu'il convenait d'effacer aux yeux du public, au cas où j'aurais eu envie d'envoyer sur place quelques journalistes sérieux et réellement indépendants ! Et pourquoi toutes ces combines à vomir ? Juste pour assurer le succès de la chère réélection du franc maçon REBSAMEN, leur "Frère" commun, bien sûr !

Non contente d'avoir totalement fermé les yeux sur un acte illégal qui consiste à effacer purement et simplement une scène de délit, en pleine procédure judiciaire, en abusant de la faiblesse d'une personne qui ne va pas bien moralement, à ce moment là, Madame TARRARE demandera également au même policier franc maçon, qui garde depuis 2010 sous contrôle les intérêts de son Frère REBSAMEN, de procéder à une audition de moi, toujours en Février 2014, afin de m'intimider, à travers une soi disant plainte grotesque déposée par l'avocat de REBSAMEN, dans le but évident de m'empêcher de parler de mon affaire et de faire stopper la distribution de mes tracts qui relataient alors ladite affaire, à quelques semaines des élections municipales de Mars 2014. En clair, après les mensonges et la manipulation mentale, j'ai aussi eu droit, de la part de ce club, à l'intimidation !

Mais après tout, en y réfléchissant un peu, on se demande bien comment Madame TARRARE pourrait engager des poursuites contre celui avec qui elle est constamment en relation directe, puisque le Maire est le premier Magistrat d'une ville et se trouve, par la nature même de sa fonction, en contact permanent avec la Préfecture, les Services de Police et le Parquet. Comment pourrait-elle encore demander des poursuites (pourtant bien méritées !) contre son "Frère" REBSAMEN avec qui elle trinque dans des cocktails... Tchin, tchin, à la bonne santé du pauvre Peuple français naïf et manipulé quotidiennement par tout ce "beau" monde !!!...
Extrait du journal local "Le Bien Public"
du 12 Septembre 2015
Tout comme son prédécesseur Eric LALLEMENT, Madame TARRARE aura travaillé, durant tout son temps à Dijon, à nous tromper, à nous mentir, à nous manipuler, à nous rouler dans la farine, à nous prendre tous pour des imbéciles et à laisser se perpétrer durant des années, le plus naturellement du monde, des actes délictueux qui enverraient pourtant n'importe qui d'autre directement en prison, et pour bien moins que cela ! Tout ceci pour couvrir son copain REBSAMEN et les Services calamiteux qu'il dirige, et leur éviter ainsi de gros ennuis au pénal. Il ne fait pas de doute que, les dossiers sensibles remontant tous chez Madame TAUBIRA qui est chef de tous les Parquets de France, la Procureure TARRARE aura évidemment reçu de sa hiérarchie l'instruction d'étouffer cette affaire ! Voilà à quel genre de "justice" nous avons droit en France ! Et on nous fera croire ensuite que ce pays est honorable et propre, après ça ! Heureusement que la justice est aveugle, ainsi elle ne saurait voir que les hommes ont fait d'elle une véritable horreur !
Madame Laurianne BAILLARGEAUX, Juge d'instruction à Dijon.
"Chargée" de notre affaire de 2011 à 2013

Après que j'ai constitué ma partie civile en Décembre 2010, la Juge en question est chargée, en Janvier 2011, d'étudier notre dossier.

Il faudra attendre Août 2011, soit 8 longs mois pour qu'elle daigne enfin me recevoir en son bureau ! Et encore, il aura fallu pratiquement le pleurnicher auprès du Conseil Supérieur de la Magistrature en Juin 2011 !... C'est d'ailleurs à l'occasion de cette réclamation par lettre recommandée que je signalerai à cette Haute Autorité de Justice un problème concernant la Magistrate BAILLARGEAUX. Cette réclamation ne méritera aucune réponse ! Pourtant, dès le départ et avant même d'avoir rencontré cette Juge, je constatais déjà que son nom, associé aux mots clés "tribunal" et "dijon", renvoyait, sur le moteur de recherche Google, à une pétition du socialiste Michel VAUZELLE, à signer en ligne. Le problème perdurera sur une période de plusieurs années durant laquelle le nom de cette Magistrate sera continuellement associé à des documents socialistes et même, féministes / communistes. J'ai près de 100 copies d'écran , réalisées sur plusieurs mois, pour le prouver !

Le 16 Août 2011 arrive enfin et mon audition chez cette Juge aussi ! Alleluia ! Il était temps !... Et là, plusieurs problèmes graves vont à nouveau se poser :

D'abord, Madame BAILLARGEAUX, me confondant peut-être un peu vite avec Judas ISCARIOTE qui trahit Jésus pour trente pitoyables deniers d'argent, me suggérera d'aller chercher quelques piécettes au civil, afin de refermer le dossier au pénal !!! Et ce, avant même d'avoir commencé la moindre investigation dans ledit dossier !!! Quel culot ! Madame BAILLARGEAUX a dû croire que l'honneur et la mémoire de mon grand-père soldat était en solde en 2011, comme des grigris dans une vulgaire braderie ?!

Le reste de l'entretien n'arrangera rien, car Madame BAILLARGEAUX évitera scrupuleusement de m'informer de mes droits fondamentaux que me garantissait pourtant le Code de Procédure Pénale ! Notamment ceux qui me permettaient de demander des expertises, des auditions de témoins et même, des confrontations ! Or, dans cette belle magouille d'Etat, cette mascarade de justice, il était déjà planifié dès le départ, par la "haute hiérarchie", que cette affaire devait en rester là, que ces faits devaient être étouffés dans l'oeuf ! Il ne fallait donc en aucun cas que des auditions ou des confrontations dangereuses pussent mettre en lumière la vérité. On a ici, soigneusement, délibérément, fait en sorte qu'aucun débat ne pût avoir lieu. Ceci est un déni de justice à l'état pur !!!

Hélas, je ne connaissais pas mes droits, à ce moment là. Lorsque, au tout dernier moment, j'ai fini par les découvrir, j'ai essayé naturellement de les exercer, en demandant notamment l'ouverture et l'analyse totalement légitimes du contenu de la tombe de mon grand-père dont je rappelle que la terre a été par deux fois au minimum retournée. La Juge BAILLARGEAUX a rejeté toutes mes demandes en bloc, sans fournir aucun argument valable, hormis répéter sempiternellement "n'est pas nécessaire à la manifestation de la vérité" ! Ou plutôt, à mon sens, "trop dangereux pour les auteurs de cette mascarade de justice" et "trop susceptibles de les confondre tous et de révéler la vérité au grand jour" !

Imaginez que pour me refuser strictement la même demande d'ouverture de tombe, cette Juge aura le culot phénoménal de m'inventer pas moins de trois faux prétextes différents et totalement grotesques, en l'espace de trois mois, dont deux d'entre eux figurent dans une seule et même "Ordonnance" ! C'est inouï, du jamais vu au cours de toute notre vie sur Terre !!!

1 - D'abord, "on ne peut pas ouvrir une tombe comme ça, Monsieur MEDINA, car c'est une opération lourde" ! (Ben voyons ! Des tombes, on en ouvre évidemment tous les jours dans les cimetières, notamment pour des besoins d'inhumations !!!)

2 - Puis, "ouvrir une tombe est manquer de respect au repos des morts" ! (Il est vrai qu'après ce qu'on lui a déjà infligé, mon aïeul est à ça près ! Son repos éternel n'a visiblement pas été déjà troublé ?! On ne voit pas comment on pourrait faire pire ! REBSAMEN et ses sbires n'ont pas suffisamment manqué de respect aux morts, peut-être, pour nous sortir un prétexte aussi bas de gamme ?!)

3 - Et enfin, "les doutes seuls de Monsieur MEDINA ne permettent pas d'ouvrir la tombe" ! (On rêve !!! Des "doutes" nombreux, mais corroborés par tout un panel de preuves solides que cette Magistrate, à qui le Peuple souverain a confié le colossal pouvoir de juger les autres, a mises directement au panier de la censure d'Etat, de l'indifférence et de l'
INjustice totale !!!)

Ses prétextes à deux sous n'ont aucun sens, à part celui de couvrir REBSAMEN et ses Services, bien sûr ! Ceci n'est pas de la justice, c'est juste se foutre carrément des victimes et les mépriser au plus haut point ! La vérité, c'est que Madame BAILLARGEAUX ne savait tellement pas comment me refuser l'ouverture de la tombe qui aurait immédiatement prouvé ce qu'elle devait, sur instruction "d'en haut", étouffer pour éviter un scandale à REBSAMEN, qu'elle en fut réduite à me sortir les pires salades pour se débarrasser de moi et de ma bien gênante affaire !

Comme si cela ne suffisait pas, après avoir essayé d'acheter mon silence et bafoué mes droits de partie civile, Madame BAILLARGEAUX m'a clairement MENTI, en affirmant que la SDAT ou Société Dijonnaise d'Assistance par le Travail, incriminée dans mon affaire et contre laquelle ma plainte est notamment dirigée, ne creusait en aucun cas les tombes au cimetière de Dijon. Car ses pauvres employés malheureux n'avaient, pour travailler, que de petites pelles et leurs petites "mimines" fatiguées ! En clair, de vraies bêtes de somme, comme au Moyen-Age !!! Les pauvres petits chéris !...
Mais Madame TARRARE a déjà fait pire en Février 2014, en fermant purement et simplement les yeux sur l'abus de faiblesse dont a été victime l'une de mes soeurs, particulièrement dévastée moralement, depuis ces profanations de tombes répétées durant 5 ans. Un abus de faiblesse émanant des Services de REBSAMEN et mettant en cause Monsieur Jean-Claude GAUTHEROT, Conservateur du Cimetière. Un abus de faiblesse consistant à faire miroiter des choses hallucinantes à ma soeur fragilisée pour l'inciter à replacer avec lui tous les objets funéraires de mon grand-père sur ce qui reste de sa pauvre tombe souillée, ceci, afin de faire disparaître du cimetière une bien gênante scène d'infraction pénale, à quelques semaines d'un scrutin électoral important qui devait reconduire François REBSAMEN à son poste de Maire de Dijon !

Rappelons tout de même qu'en 2010, nous avons eu droit à... Ca !!!
MENSONGE !!!
La Procureure TARRARE est donc une menteuse !
Je suis en mesure de prouver par plusieurs moyens que des tombes ont bel et bien été relevées dans le Polygone 29C du Cimetière dijonnais des Péjoces où repos(ait) mon grand-père ! Et même, régulièrement ! Notamment en 2006, en 2009, en 2010 (mon aïeul !), etc... Et ce n'est pas près de s'arrêter, car de nouvelles plaques indiquant des tombes échues, ayant été apposées dans ce secteur, on peut craindre le pire dans les deux prochaines années ! Sauf que... La tombe de mon aïeul, elle, n'était pas échue, lorsqu'elle a été à plusieurs reprises outragée !!!...
EXEMPLE : Tombe des époux enterrés... Juste à gauche de mon grand-père !
Leur tombe de marbre neuf date de 2006 ! Avant cela, la tombe d'une autre personne se trouvait là.
MENSONGE !!!
La Juge BAILLARGEAUX,
à l'instar de la Procureure TARRARE, est donc aussi une menteuse !
La SDAT creuse bien les tombes ! L'ancien conservateur du Cimetière des Péjoces s'en vante même dans la presse en Octobre 2009, soit cinq mois avant nos profanations de tombes, dans un article intitulé "Le business de l'Au-delà"... Un titre qui donne déjà envie de gerber avant de lire la suite !
Mais plus fort encore, la SDAT le confirme aussi sur son site web !
La SDAT n'a pas que les petites mains de ses employés et de pauvres pelles d'un autre âge ! Elle bénéficie au contraire de tout le matériel nécessaire pour inhumer et exhumer des corps, notamment des pelle...teuses (!!!) montées sur suspensions, du matériel de dernier cri, comme on le voit sur le cliché ci-dessous, pris sous les yeux éberlués de ma grand-mère et les miens, lorsque la SDAT vidait le contenu d'une tombe, le 24 Octobre 2011, pour une inhumation le lendemain !!! EN FACE DES RESTES DE LA SEPULTURE DE MON AÏEUL, EN PLUS !
Et maintenant, cerise sur le gâteau !... Je découvre tout récemment que non seulement la SDAT creuse bien les tombes au Cimetière de Dijon, mais elle ne le fait pas depuis 2010 comme nous le pensions, mais au contraire depuis... 1965 ! Avec, notamment, la complicité de la Préfecture de Côte d'Or ! Car la SDAT n'est pas une Société (Ou Association ?!) récente, non !... Elle fut créée en 1903 ! Elle a donc plus de 100 ans aujourd'hui !

DECLARATION DE CREATION DE LA SOCIETE DIJONNAISE D'ASSISTANCE PAR LE TRAVAIL
PUBLIEE AU JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE DU 8 AVRIL 1903 !
Voici maintenant les extraits du croustillant recueil de 106 pages de Monsieur Gilles DRAVIGNY, intitulé « Mémoire de l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique » (2012),  racontant, entre autres, les 100 ans d’histoire de la SDAT :
"LE CREUSEMENT DES TOMBES" !!! C’est écrit noir sur blanc, c’est pourtant très clair et ne mérite aucune contestation !

Mais dans les écrits de Monsieur DRAVIGNY, on trouve encore plus fort et les bras m’en tombent littéralement :

Nous apprenons donc que des « PSYCHOPATHES », des gens « VIOLENTS », des alcooliques, drogués, DELINQUANTS, détenus sont « autorisés » depuis 1965 à tripoter nos tombes, mais aussi les dépouilles de nos morts, parfois dans le dos des familles et dans l’illégalité la plus totale, sans que les ayant-droits ni les concessionnaires ne soient informés de rien, et tout cela avec un agrément et donc une responsabilité et une complicité totales de la Préfecture de Côte d’Or !

Mais ce n’est pas tout, on apprend aussi, dans le recueil de Monsieur DRAVIGNY, que les employés de la SDAT reçoivent, pour la SALOPERIE qu’ils nous ont faite au cimetière, une FORMATION (C'est dément !!!) et sont surveillés par deux encadrants techniques et un chef de service, professionnel du funéraire (!!!), A PLEIN TEMPS ! Pour en arriver au résultat que nous savons ???!!! C’est une plaisanterie, j’espère ? Où étaient ces encadrants A PLEIN TEMPS quand les faits délictueux se sont produits dans la tombe de René MEDINA ? Ils étaient tous en vacances à Tataouine ? On se fout de la gueule de qui, ici, je le demande ?!... Et une fois la chose constatée, pourquoi ma famille n’a-t-elle jamais été informée par ces soi-disant encadrants et "chef à plein temps" que quelque chose s’était produit ? Il aura fallu que je me rendisse au cimetière moi-même pour le constater ! C’est vraiment, je le répète, se foutre de la gueule du monde !


RAPPEL : User de ses fonctions de Magistrat pour mentir à des victimes de délits graves et les rouler délibérément dans la farine, dans le but d'étouffer ces délits et protéger les intérêts de leurs auteurs, n'est plus un délit lui-même, mais un CRIME ! Ce n'est pas moi qui le dis, mais le Code pénal qui réprime lourdement ce genre de corruption.
Pour venir en aide à l'un de leurs "Frères Maçons .'.", tout est décidément bon dans la méthode, y compris écrire des saletés aux victimes dont ils se moquent bien, tout cela pour s'assurer la protection et l'avancement de leur belle carrière et leurs petites promotions et mutations futures ! N'oublions pas qu'en entrant dans le "Grand Club", le serment est clair dès le départ : Il leur faudra "verser jusqu'à leur sang" pour sauver l'un des leurs, en cas de danger sur celui-ci !

Ce ne sont, en tout cas, ni les états d'âme ni le culot qui les étouffent, lorsqu'ils agissent comme ils l'ont fait avec ma famille ! Cela ne fait aucun doute : Ils travaillent d'abord pour eux-mêmes, certainement pas pour les victimes ! Voilà ici une "justice de Cour" qui sent "bon" le copinage et les renvois d'ascenseur !...

Mais ce n'est pas encore tout... Car en effet, la Juge BAILLARGEAUX se sera décidément surpassée dans notre affaire ! Non contente de nous avoir bien menti et fait prendre des vessies pour des lanternes, ce qui est une grave insulte à notre égard car cela revient clairement à nous considérer comme les plus atteints des "gogols", elle n'aura effectué AUCUNE enquête réelle dans cette affaire qui sent bel et bien le soufre, aucun déplacement sur les lieux ! Pire, elle aura laissé le dossier à l'ABANDON TOTAL sans y effectuer aucun acte juridique durant 17 mois, soit 1 an et demi, includant l'INTEGRALITE DE L'ANNEE 2012 !!! Du jamais vu encore : Elle attendra 1 AN entre la fin de son "enquête" bidon dont elle est, tout comme sa complice la Procureure TARRARE, totalement incapable de dire (évidemment !) en quoi elle consiste, et l'audition de son témoin fantoche, sorti de nulle part au dernier moment, alors qu'on n'en entend pas parler en 2010 ni en 2011. Un pauvre hère de combine avec les mis en cause, qui prêtera gentiment son nom, histoire de remplir un peu le dossier de quelques inepties, afin de vite en effacer celui du "Frangin
.'." REBSAMEN, avec l'assurance de n'être ensuite inquiété de rien, ce pour quoi, en sa qualité de "témoin assisté" de complaisance, il n'aura jamais besoin d'aucun avocat pour le défendre, n'en ayant évidemment pas besoin, dans cette grande farce de justice ! Vous verrez plus bas que, lui aussi, ne s'est pas privé de raconter des salades aux victimes... Et aussi de venir se foutre de moi, jusqu'au café du coin, le matin !...

Notons que, quelques mois après s'être bien fichue de nous, Mme BAILLARGEAUX recevra une belle petite promotion au TGI de Chalon / Saône !

Madame Claire LEVY-BARBIER,
Juge à la Cour d'appel de Dijon.
Sur notre affaire de 2013


Madame BARBIER ne laissera qu'un bien misérable souvenir à ma famille. Un souvenir qui est une belle insulte, non seulement à ma personne, en tant qu'humain, victime de délits dégueulasses  et partie civile, mais aussi et surtout à la mémoire de mon grand-père, soldat décédé.

En 2013, je fais appel auprès de cette Magistrate d'une Ordonnance de rejet de mes légitimes demandes d'actes, rendue par la Juge BAILLARGEAUX, avec son  habituel-
le complaisance à l'égard de REBSAMEN. Madame BARBIER ne mettra pas bien longtemps, il fallait s'en douter, à couvrir sa Consoeur .'. BAILLARGEAUX, en m'adressant en retour l'un des pires torchons que j'ai eu à recevoir depuis bien longtemps ! Un papier méprisant, se résumant à une simple feuille volante, imprimé sur un papier gris recyclé de la plus basse gamme qui soit et... Complètement de travers, en plus ! C'est dire à quel point elle s'est dépêchée de nous expédier, moi et mon affaire, comme de vulgaires détritus à la poubelle !...

Mais le plus douloureux est encore de lire ce qu'elle a eu le culot d'écrire sur son misérable torchon qui est tout ce que l'on voudra, sauf un acte de justice :

[...] "Les propos de Monsieur MEDINA, par leur caractère quelque peu outrancier et dramatisé et relevant de la thèse du complot attribué à diverses personnalités, avec un amalgame avec d'autres mésaventures sans aucun rapport, ne sauraient être elles-mêmes un fondement crédible et suffisant à ses accusations" [...]

Il n'y a donc aucune limite à leur manière d'enfoncer et mépriser les autres ! Quand acheter le silence des victimes, puis leur faire un lavage de cerveau ne suffisent plus, cette justice, qui n'en est pas une, essaie ensuite de faire passer ses victimes pour des dingues qui croient à des complots ou je ne sais quoi du genre ?

Comment Madame BARBIER peut-elle savoir précisément si les profanations répétées de 3 de nos sépultures dans un même cimetière (ce qui ne peut être une erreur, car une erreur ne se produirait qu'une seule fois !!!) sont liées ou pas à d'autres faits gravissimes pour lesquels j'ai dû porter plainte en 2007 ?! Ces faits mettaient gravement en cause un haut fonctionnaire de l'Assemblée nationale, l'affaire est remontée jusqu'à l'Elysée à l'époque et le procès verbal de plainte existe toujours ! Ceci est bien du réel, du concret, et n'a donc rien à voir avec un hypothétique "complot" ! Cette Madame BARBIER ne manque pas de culot ! Où était-elle pour vérifier si un lien réel existe entre tout cela ? S'est-elle seulement  levée de son beau fauteuil pour aller voir sur place ? Il est facile d'essayer de faire passer les autres pour des malades mentaux dans le but de discréditer leur parole. Madame BARBIER n'a pas tenu la chandelle, que je sache, pour savoir mieux que moi-même les choses calamiteuses que j'ai eu à vivre au cours des 17 années passées ! C'est un comble ! Avant que de faire passer les autres pour des malades, Madame BARBIER ferait mieux de se poser des questions, notamment sur ça...





... Car il faut quand même, à mon sens, en tenir une sacrée couche pour en arriver  là ! Imaginez ce que des gens aussi perturbés ont pu faire avec la dépouille de mon grand-père !!!... Et ça, c'est bien du réel, n'en déplaise à Madame BARBIER !

L'attitude de Madame BARBIER, née LEVY (Je précise, car cela a son importance !) est véritablement honteuse ! Non seulement, elle m'a balancé, à travers son minable papier volant imprimé en biais, tout son mépris à la figure (ça, j'y suis désormais habitué !), mais de surcroît, elle a indirectement manqué de respect à un soldat courageux de l'Armée de la France libre, celle du Maréchal de Lattre de Tassigny, qui s'est distingué plusieurs fois et n'a pas hésité à mettre sa propre vie en danger pour sauver son pays du nazisme et libérer aussi, indirectement avec tous ses frères d'armes, les camps de la mort dans lesquels les frères de sang de Madame LEVY épouse BARBIER, vraisemblablement de confession israélite, étaient gazés puis brûlés par milliers ! Et je vous le donne en mille, Mesdames et Messieurs... Pour qui Madame LEVY s'est-elle mise en quatre, pour qui a-t-elle insulté pareillement un soldat de la France libre outragé dans sa tombe et toute sa famille ?! Pour protéger les intérêts de REBSAMEN, fils d'un sordide collabo du troisième Reich en costume hitlérien !!! J'espère que les ancêtres hébreux de Madame LEVY verront ça, de là où ils se trouvent maintenant, pour le lui faire chèrement payer lorsqu'elle passera à son tour de l'autre côté du "miroir" !

Car voici Papa REBSAMEN ci-dessus et au centre de cette belle photo, entouré de ses copains, deux criminels gestapistes bien connus à l'époque, lors de l'une de ses grandes sauteries nazies, organisées CHEZ LUI et PAR LUI !!!

Il reste maintenant à Madame Claire LEVY-BARBIER le reliquat de sa pauvre et finalement si courte vie terrestre pour se faire
HONTE toute seule en contemplant chaque matin sa laideur morale dans une glace !
COUR D'APPEL DE DIJON
Sur notre affaire en 2013 et 2014


Lors de mon appel de l'Ordonnance de non lieu de la Juge BAILLARGEAUX, et donc, lors de ma seconde tentative auprès de cette Cour d'appel, je ne bénéficierai pas d'un meilleur traitement que la fois précédente !

Cette Cour, à 80% maçonnique, continuera, à l'image de l'une de ses icônes, Madame LEVY-BARBIER, de nous enfoncer sans le moindre état d'âme. Elle continuera de s'évertuer à discréditer ma parole à 100% et
d'ignorer toutes les preuves que je lui fournirai. Elle poursuivra sans aucune honte son mépris de ma personne et le déni total des faits.

Elle fera encore mieux que tous les autres en écrivant, dans son Ordonnance de rejet de mon appel de non lieu, que René MEDINA, mon grand-père décédé en 1984, a lui-même déposé plainte et constitué une partie civile en... 2010 !!! A cela, je répondrai avec un certain humour (car il faut en avoir un peu ici, pour ne pas sombrer dans une profonde dépression à cause de tous ces gens dévoyés !) que la Cour d'appel de Dijon prouve donc, par ses écrits, que mon grand-père s'est bien relevé de la mort et a bien quitté sa sépulture... Pour pouvoir aller déposer une plainte en 2010 devant un tribunal ! Quel mépris, mon Dieu, quel mépris de leur part !... C'est épouvantable ! Et le pire, c'est qu'ils sont tous royalement payés avec l'argent du Peuple pour traiter ce dernier d'une manière aussi monstrueuse et inhumaine !...

Mais ce n'est pas tout : La Cour d'appel de Dijon démontrera toute seule, à travers ses écrits, que la Juge BAILLARGEAUX est bien restée plus d'un an "en vacances" dans le dossier MEDINA, sans y effectuer aucun acte de toute l'année 2012 en particulier, ce que j'ai moi-même démontré en déposant mon mémoire d'appel auprès d'elle. Nous sommes donc en concordance sur ce point. Et pourtant, comble de l'ironie, ou peut-être d'un certain miracle maçonnique bien calculé, la Cour me donnera tort sur tous les points et notamment sur celui-là ! C'est totalement dément, car en effet, comment peut-on donner tort à une personne sur la base d'un argument que l'on confirme soi-même EXACT dans un écrit ?! Il est évident qu'ici, la volonté était à nouveau d'étouffer l'affaire et de rejeter toutes mes demandes, quel qu'ait pu en être le contenu, et non de rendre une justice neutre et impartiale ! Ceci n'est pas de la justice, mais participe d'une magouille dont le processus a été clairement établi dès 2010 !

COUR DE CASSATION
Mr Jean-Claude MARIN (Procureur général)
Mr Yves LE BAUT (Avocat général)
Mr Patrick SASSOUST
(Avocat général)
Mr Patrick BEGHIN
(Rapporteur)
Sur notre affaire en 2014 et 2015


Pour mon pourvoi en cassation, j'ai eu encore de la "chance" avec les "Frérots de combine" ! Enfin, "chance", si on peut dire !

Des intervenants de choix, triés sur le volet, vraiment !...  De Mr MARIN, qui adore les acteurs du Pouvoir au point de se mordre les lèvres en voyant sa Vénérable Soeur
.'.
Christiane TAUBIRA, comme nous l'avons vu en début de page, ou de rougir comme une tomate devant François HOLLANDE, à Mr SASSOUST qui fit l'objet, en 2014, d'une longue garde à vue dans le cadre d'une affaire désormais célèbre (blanchi entre temps, mais tout de même...) et pas très glorieuse pour la Cour de Cassation, elle-même à nouveau condamnée par la CEDH le 11/07/2013 pour défaut d'impartialité ! Comme quoi, je suis sûrement loin d'être la seule victime de cette bien particulière justice à la française ! En passant, bien sûr, par le rapporteur BEGHIN qui, vous allez le voir, m'a fait un truc vraiment "génial" pour se débarrasser de moi et de mon satané dossier intraîtable, mais hélas, a été démasqué dans sa maladroite entreprise par... L'un des siens ! Que c'est bête !...
Il suffit de lire le livre ci-contre pour comprendre qu'avec Monsieur .'. MARIN, qui fait l’objet de nombreuses critiques dans la presse, au sujet des « libertés » qu’il prend parfois dans le cadre de ses décisions, mais aussi l’objet de très nombreuses polémiques, je n'avais aucune chance d'obtenir une justice neutre et impartiale, dans mon affaire m'opposant à François .'. REBSAMEN ! "Un Magistrat politique"... Tout est dit, rien que dans le titre !

Quant à Mr Yves LE BAUT, particulièrement virulent dans le dossier "Jérôme KERVIEL" pour réclamer l’irrecevabilité du pourvoi dans cette célèbre affaire et qui fut aussi acteur, du rejet de ma QPC pourtant utile, justifiée et pertinente concernant le libellé imprécis de l'Article 225-17 du Code pénal, on lui reproche de "produire un sophisme juridique inquiétant de la part du

Parquet général de la Cour de cassation qui anéantirait la crédibilité de ladite Cour, s'il prospérait et était accueilli favorablement." Epatant ! Que du beau monde !...

Pour finir avec la Cour de cassation, venons maintenant au cas de Monsieur Patrick BEGHIN, rapporteur. C'est à dire, celui qui, dans le cadre de mon affaire, est payé pour rédiger un rapport qui évitera à l'Avocat général de trop se creuser la tête, en y insérant toutes les failles juridiques qui permettent de rejeter en bloc mon pourvoi ! Notez au passage le libellé très intéressant utilisé par cette personne :

D'une plainte qui, au départ était dirigée contre le Maire François REBSAMEN, le Conservateur du Cimetière de Dijon, la Mairie de Dijon et la Société Dijonnaise d'Assistance par le Travail, je passe à la Cour d'appel par une plainte contre un pauvre hère que je ne connais pas, mais de combine dans la magouille, pour finir en cassation, et bien malgré moi, englué dans une plainte contre "personne non dénommée" ! C'est effarant ! Et oui, on efface les noms gênants, notamment celui de REBSAMEN... Plus prudent, au cas où les journalistes viendraient mettre leur nez dans le dossier et en demander des copies ! "Personne non dénommée", ça fait plus smart et ça met surtout les "Frangins" à l'abri de gros soucis !

Monsieur BEGHIN a donc rédigé une partie de son "rapport", à l'image de tout ce que j'ai pu recevoir dans ma boîte aux lettres durant près de six ans, en clair, sous la forme d'un vrai tissu de mensonges et d'inepties en tout genre, en se basant notamment sur un document dont il affirme que la présence d'une mention est CERTAINE sur cette pièce du dossier, sauf que le grand ennui dans tout cela, c'est que ce document n'a jamais été une seule fois sous les yeux de Monsieur BEGHIN pour la bonne raison que la Cour de cassation où il officie se trouve à Paris, alors que la pièce en question n'a jamais quitté la Cour d'appel de Dijon, à plus de 330 km de là !!! Ceci m'a été confirmé sur une lettre conservée en lieu sûr et signée par le Greffier en chef LAMBERT de la Cour de cassation !

D'où ma question : Comment une personne quelconque peut-elle être certaine de la présence d'une mention sur un document, lorsque ce document n'a jamais pu être une seule fois sous ses yeux, puisque resté à plus de 300 km de distance d'elle ? Monsieur BEGHIN aura des dons de voyance, qui sait ? Il aura vu cette mention dans un jeu de tarot ou peut-être bien dans les reflets d'une boule de cristal ?!...

Et pour avoir un joli bouquet final après ce feu d'artifice de magouilles en tout genre, afin de nous prouver sa volonté de nous NUIRE jusqu'au bout, la Cour de cassation, qui rendra sa décision de rejet de mon pourvoi en date du 4 Février 2015, attendra le 28 Juillet 2015 pour me notifier cette décision, sachant que pour présenter une requête devant la CEDH, la limite de mon recours est fixée au 4 Août 2015, avec entre les deux dates, un week-end ! Aussi, si l'on résume bien : La décision est rendue en Février et se traîne sur un bureau pendant près de six mois "sans aucune raison", hormis celle de m'empêcher d'exercer mon droit auprès de la CEDH, pour m'être finalement envoyée par miracle quelques jours avant que je ne puisse plus exercer aucun droit contre leurs magouilles ?! Si ceci ne relève pas de la volonté de nuire et d'une justice totalement dévoyée, alors je veux bien entrer au monastère dès demain !

Toutes ces déclarations prennent plus de sens et de poids, lorsque je découvre à l'instant que ces méthodes déloyales ne sont pas utilisées que contre moi et que je suis loin d'être la seule victime de cette corruption d'Etat... Lisez cela, c'est édifiant et, de surcroît, on y retrouve des noms que je viens de citer plus haut :

https://gaiffel.wordpress.com/2011/04/08/la-cour-de-cassation-couvre-les-crimes-des-juridictions/

http://www.midiassurancesconseils.com/LGConclCitationLambert.htm

Je viens de lire tout cela au moment même d'écrire ces lignes ! J'ai dû être dirigé par une main divine pour tomber sur ça ! Je suis sans voix, les bras m'en tombent, car c'est décidément pire que tout ce que j'avais pu jusque là imaginer !!!
Ce dossier totalement vide a été "instruit" exclusivement à décharge sur ordre du pouvoir politique dont les membres sont tous unis par le même lien fraternel qui "transcende la loyauté nationale". Les conditions n'ont donc pas été remplises pour bénéficier, en tant que partie civile, d'une justice neutre et impartiale. Un droit fondamental que me confère pourtant la loi française !

Il est totalement impossible que cette magouille ait été ainsi montée sans que Madame TAUBIRA n'ait été prévenue et n'ait donné ses consignes en la matière. Et ceci pour plusieurs raisons simples :

1 - La Procureure TARRARE, toujours en poste à Dijon, n'est pas arrivée dans la capitale bourguignonne par l'effet d'un simple hasard.

2 - Madame TAUBIRA, étant chef de tous les Parquets de France, toutes les affaires sensibles remontent obligatoirement à elle... Notamment la nôtre !

3 - Le Maire de Dijon, principal mis en cause dans notre affaire, est aussi le grand copain de Madame TAUBIRA, constamment assis à côté d'elle à l'Assemblée nationale lorsqu'il était Ministre du Travail et surtout, franc maçon au GODF... Comme elle l'est elle-même à la GLFF !

Trop de personnes sont ainsi impliquées dans cette combine et n'ont donc pas pu agir de manière isolée, sans se concerter et sans suivre scrupuleusement une ligne directrice qui leur a été imposée "d'en haut". L'Omerta, comme on m'a dit !!!...



Quelle différence y a-t-il entre Madame TAUBIRA et mon grand-père ? C'est très simple : Tout comme chacun de ses frères d'armes courageux, mon grand-père a été hier un héros, il l'est encore aujourd'hui et continuera de l'être demain. Madame TAUBIRA, elle, est encore pour un court temps Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, dans le théâtre que les hommes se sont inventés pour se donner de l'importance. Mais demain, il est probable qu'elle ne soit plus rien, hormis un cauchemardesque souvenir pour une majorité de Français... Plus rien... Et une héroïne, moins encore !...



"Toute vérité franchit trois étapes. D'abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence."
(Arthur SCHOPENHAUER)



Si toutes ces personnes avaient eu pour les victimes le minimum de respect que chacun est en droit d'attendre de son prochain, elles nous auraient reçus en privé dans leur bureau ! Elles y reçoivent bien régulièrement des débiles profonds, alors pourquoi pas nous ?!!! Mais l'on comprend bien qu'après ce qu'elles ont fait, elles n'ont nullement le courage d'affronter le regard de celui qui sait précisément qui elles sont et en quoi consiste leur oeuvre dégueulasse !

Ces personnes sont une véritable honte à leurs fonctions ! Elles ont fait de la justice une carte de restaurant dans laquelle elles piochent les affaires selon leur bon vouloir et en fonction des intérêts de leurs copains en péril et des instructions qui leur tombent d'en haut, de leur hiérarchie à la botte de laquelle elles sont ! Elles ne défendent ni ne soutiennent en rien les victimes ! Elles travaillent au contraire à les enfoncer, tout en prenant soin de protéger leurs potes nantis, "hautement placés" dans la misérable commedia dell'arte des hommes qui se croient si importants et tellement invincibles, protégeant ainsi, par la même occasion et grâce à la magie des renvois d'ascenseurs, leur jolie carrière et leurs promotions à venir !

Pour mon grand-père, j'ai demandé la JUSTICE, la vraie ! Pas une mascarade à deux sous, une pathétique parodie, si mal ficelée ! J'ai demandé des JUGES, certainement pas des suppôts d'Obédiences maçonniques, toujours prêts à magouiller entre eux pour se protéger mutuellement au détriment des faits et des victimes... A mon préjudice, en l'occurrence ! CELA NE SERA PAS !

Cette "justice" n'est pas de la justice ! C'est un véritable attentat moral, une escroquerie intellectuelle, le pire des abus de confiance envers le Citoyen !

Longtemps, j'ai cru que la France était comme notre mère et que nous étions tous ses enfants, placés sous sa protection. Mais quelle mère pourrait en fait traiter pareillement ses propres enfants ? Quelle mère ?! A part une belle salope !...
Monsieur Franck VAURIS,
Officier de police à la Brigade financière de Dijon, mais chargé dès 2010 de nos affaires de profanations de tombes ! Cherchez bien l'erreur !!!... En fait, il n'y en a pas !... Magouille, magouille...


Ce cher Monsieur Franck
.'. VAURIS est donc chargé par le Procureur Eric .'. LALLEMENT de procéder à toutes les auditions d'affaires mettant en cause le Maire François .'. REBSAMEN. Il continuera d'être chargé de la même chose, sous l'ère de Madame Marie Christine .'. TARRARE au Parquet de Dijon. Notamment en Février 2014, vous allez le voir...

Petit problème : Si Monsieur VAURIS est spécifiquement mobilisé pour s'occuper de notre affaire de profanation de tombe, puis de profanationS de tombeS au cimetière dijonnais, on se demande bien pourquoi, au départ, lorsque l'on apprend que ce policier officie au pôle financier de l'hôtel de police de la Place Suquet, à Dijon. Quel rapport peut-il donc y avoir entre une brigade chargée de traquer des délits financiers et des affaires de profanations de tombes qui relèvent plus de la sûreté du territoire ? En tout cas, pas de la "financière", c'est certain ! En fait, il n'y en a aucun, à première vue. C'est seulement lorsque l'on commence à creuser le sujet et à enquêter de manière plus approfondie sur les liens qui unissent les uns et les autres que l'on comprend mieux pourquoi, ce policier et pas un autre, a été spécifiquement chargé par les deux Procureurs de bien garder entre ses "bonnes mains" zélées notre dossier - je cite - "sensible", comme Franck VAURIS l'avouera lui-même, peut-être un peu naïvement, devant ma grand-mère et moi, le jour de notre première audition, soit le 10 Août 2010.

Pour comprendre, il suffit de s'intéresser à lui, ainsi qu'à Monsieur REBSAMEN et de regarder attentivement en quels lieux, l'un et l'autre ont fait une partie de leur carrière... Dans les années 80, par exemple ! Ensuite, pour un complément d'information très utile, il suffit de faire vérifier qui est qui et de découvrir quel lien fraternel unit les deux hommes... Le mis en cause de notre affaire et le policier chargé de toutes les auditions qui concernent directement l'illustre personnage politique... Enfin, quand je dis "illustre", ce n'est pas tant pour le piètre bilan de Mr REBSAMEN au Ministère du Travail de la République, bien entendu...

Bref, il y a déjà ici une volonté manifeste du Parquet de Dijon de garder cette affaire sordide de tombes profanées sous contrôle, afin de mieux pouvoir gérer la situation et manipuler tout le monde pour en étouffer le plus rapidement possible les faits sulfureux ! Et "sulfureux" n'est vraiment pas un faible mot dans ce bien particulier dossier dont les délits se déroulent tous dans... Un cimetière !

Là où l'histoire vire carrément au scabreux, c'est lorsque, en Février 2014, je reçois un coup de fil de ce cher Monsieur VAURIS, pour me signifier qu'il souhaite me voir en audition en son bureau, suite à une soi-disant plainte de François REBSAMEN, notamment pour "diffamation". Grandiose ! Le principal mis en cause de notre dossier et profanateur moral de la sépulture de mon grand-père ne trouve rien d'autre à faire, à se moment là, au lieu de présenter des excuses pour ce qui s'est produit sous son mandat de Maire, que de déposer une plainte grotesque (dont le libellé réel, de quelques lignes seulement, est véritablement à mourir de rire !) et pour quelle raison, devinez Mesdames et Messieurs ? Pour tenter de museler ma parole de victime et m'empêcher de continuer à distribuer à travers la ville de Dijon un tract relatant mon affaire de tombes, ce, à quelques semaines du scrutin des Municipales qui devaient reconduire REBSAMEN au poste de Maire de Dijon pour... 72 heures seulement !

Je me rends le 17 Février 2014 à l'audition prévue, où je suis effectivement reçu par l'éternel Franck VAURIS qui m'indique d'emblée que je suis reçu en "audition libre" et que je peux repartir sans m'exprimer. Ce qui pose déjà, techniquement, un problème. Ce à quoi je répondrai évidemment qu'il est hors de question de repartir de son bureau sans m'être défendu, après une attaque totalement grotesque, infondée et même honteuse, car déposer plainte contre la victime de son propre abus de pouvoir n'est pas, pour un élu quel qu'il soit, la meilleure chose ni la plus honorable qu'il puisse tenter pour réparer ses torts !

Monsieur VAURIS pensait sûrement qu'en faisant la grosse voix, j'allais faire pipi dans ma culotte devant lui et j'allais repartir les oreilles en arrière et la tête basse sans avoir dit le moindre mot ! Hélas, il s'est trouvé fort dépourvu lorsqu'il m'a vu sortir trois pages que j'avais patiemment préparées, seul, pour ma défense. Trois pages d'arguments juridiques qui ont eu vite fait de faire voler en éclat cette parodie de plainte qui n'avait en fait qu'un seul et unique but : Tenter de m'intimider et de me faire peur pour que je me taise et ne parle plus de ces profanations de manière publique. Raté ! Non seulement la Famille MEDINA compte bien continuer d'en parler haut et fort tant que cette corruption d'Etat ne cessera pas et que le défunt soldat René MEDINA n'aura pas obtenu justice et réparation de l'outrage qui lui a été infligé par REBSAMEN et ses sbires, mais en plus, nous attendons d'ores et déjà de pieds fermes tous ces lamentables personnages décrits ici, afin qu'ils s'expliquent sur leurs agissements souvent à la limite de la légalité pour ne pas dire totalement illicites, devant le Peuple souverain de France, en audience publique et tel que la loi nous en donne clairement le droit !!!

Je commence donc, ce 17 Février 2014, à faire la lecture de ma longue et planifiée défense, alors même que, quelques jours auparavant, ce qui n'arrange rien pour REBSAMEN, les Services de celui-ci se sont rendus coupables d'un clair abus de faiblesse sur l'une de mes soeurs. Nous allons y venir plus bas...

Voilà donc Monsieur VAURIS qui tape des lignes et des lignes à n'en plus pouvoir, pour remplir mon procès verbal. A tel point qu'il perd très vite son sang froid, une première fois. Hors de lui, il me balance au visage, sur un ton très sec : "Va falloir abréger. Je ne suis pas votre secrétaire !" A cela, je répondrai à Mr VAURIS que l'on m'accuse ici de choses graves et que si je ne peux pas m'exprimer pour me défendre, je ne vois pas vraiment pour quelle raison on m'a fait me déplacer !

Nous continuons ensemble : Moi, déballant ma défense dont je suis très fier, et lui, tapant sans interruption les mots sortant de ma bouche, avec une tête particulièrement défaite. Très vite, je bascule mon récit sur le procès d'intention que REBSAMEN tente de me faire à quelques jours des Municipales. J'oriente donc mon discours de façon à démontrer que l'action de REBSAMEN qui m'amène devant son copain VAURIS est motivée par un but purement politique : M'empêcher de diffuser mon affaire pendant la Campagne électorale. On comprend bien pourquoi !

Et là, chose étonnante pour ne pas dire totalement irréelle : Au moment où je fais basculer mes propos sur le thème précis de la politique, sans rien évoquer d'autre, Monsieur VAURIS sort à nouveau de ses gonds (pour la seconde fois en même pas une heure !) et, excédé, me jette : "On a bien compris que l'on avait DÉTERRÉ votre grand-père ! Vous n'allez pas nous le répéter cinquante fois !" Plait-il ? Que vient faire ce propos en plein milieu de la rédaction du procès verbal, au moment où je ne parle ni de mon aïeul, ni de sa tombe, mais juste des motivations politiques de REBSAMEN ?! Ma parole, c'est à se demander si l'âme de feu René MEDINA n'était pas avec nous dans la pièce et n'a pas suggéré à l'esprit de VAURIS de sortir, à ce moment totalement inapproprié, une révélation pareille ?! Je rappelle que VAURIS a bien dit "déterré" et pas un autre mot ! Comment a-t-il pu ainsi se trahir et révéler lui-même, sans aucune raison apparente ni pression de ma part, une telle réalité que toute ma famille connaît déjà de source administrative extrêmement sûre depuis le début, soit depuis 2010 ?! J'avoue que cette scène totalement imprévue et surréaliste, face à VAURIS dans son bureau, m'a fortement marqué et je ne suis pas près de l'oublier, tant il planait, après cela, un silence pesant qui parlait à lui seul, mieux que tous les mots d'un dictionnaire !

Avant de quitter le bureau de Monsieur VAURIS, celui-ci sera à nouveau confondu par ses propres propos... En effet, il se trahira tout seul en évoquant brièvement son temps passé à PARIS dont il ajoutera même qu'il est "lointain", au lieu de parler de DIJON ! C'est ce qui s'appelle vraiment "s'emmêler les pinceaux". Décidément, ce jour de Février 2014 n'était pas faste pour Monsieur VAURIS ! Mais voilà une erreur fatale qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd... Car oui, le "Vénérable Frère"
.'. VAURIS, à l'instar de son "Vénérable Frère" .'. REBSAMEN, a bien fait une partie de sa carrière à Paris. Et voilà maintenant l'un, chargé de veiller aux bons intérêts de l'autre par le Parquet de Dijon, lui-même carrément maçonnique .'. ! Avouez le cocasse de la situation, tout de même, et surtout, le problème que cela pose en terme de neutralité et d'impartialité pour nous, les victimes, vraiment prises ici pour rien d'autre que de la merde !...



Monsieur Ali BOURENANE
Le joker tardif mais "efficace" de cette Administration corrompue, pour balancer notre affaire de tombes profanées aux oubliettes du mépris et de l'indifférence.

Né de père algérien et de mère française en 1960, c'est lui qui sera une nouvelle insulte à la mémoire de mon grand-père, pied-noir d'Algérie (je ne vous fais pas de dessin sur les douloureux souvenirs de la très tristement célèbre proposition :  "la valise ou le cercueil" !), après que mon grand-père a déjà été insulté par REBSAMEN, fils d'un collabo nazi comme nous l'avons vu plus haut sur cette page ! Mon grand-père sera aussi méprisé en 2015 par une juge allemande du même club que tous les autres, officiant en ce lieu parodique de justice que l'on nomme la Cour européenne des Droits de l'Homme. Je récapitule : Mon grand-père, né pied noir d'Algérie, puis courageux soldat ayant libéré la France en 1944, verra sa mémoire gravement insultée dans la mort (jusqu'à l'intérieur de sa tombe !) successivement par : Un fils de collabo du IIIème Reich, un petit malin pour moitié de descendance algérienne et une Allemande ! Je crois que l'affront qui lui a été fait entre 2010 et 2015 ne pouvait pas être plus total qu'il ne l'a été !!! Autant dire qu'il n'est pas près d'être digéré par la famille MEDINA ! CERTAINEMENT PAS !

Monsieur BOURENANE est celui qui se fait passer pour un pauvre hère un peu idiot, mais qui, en fait, est très malin et sait pertinemment ce qu'il fait. Le genre de parfait comédien, hypocrite au possible, qui mériterait assurément d'être nominé pour la Palme d'or du meilleur acteur, au prochain Festival de Cannes !

Ma famille n'entend absolument pas parler de ce bonhomme durant toute l'année 2010, durant toute l'année 2011 aussi et quasiment durant toute l'année 2012, temps durant lequel les mis en cause de notre dossier sont totalement incapables de dire aux MEDINA qui a précisément "oeuvré" dans la tombe de René MEDINA.

Et voilà que, comme par magie, BOURENANE débarque enfin, en Octobre 2012. Et miracle... Tout le monde s'accorde subitement à dire que ce serait lui qui aurait "déplacé les objets funéraires de René MEDINA sur trois tombes" et "n'aurait pas été capable de les replacer ensuite au bon endroit", ayant "fait plusieurs tombes à la fois" ! Débile !... A ce jour, aucune preuve matérielle ne permet de démontrer que ce dénommé BOURENANE est bien celui qui a agi sur la tombe de René MEDINA au moment du délit de profanation, début 2010. Rien n'est capable de le prouver. Mais admettons que ce soit lui tout de même... Se posent alors bien des  problèmes :

Tout d'abord, Ali BOURENANE prétend qu’il a « travaillé » exclusivement dans l’allée du cimetière comprenant les tombes 9 (celle de mon aïeul) et 10 (celle de son voisin imaginaire de droite) et que l'un de ses collègues, Sylvain NAUDIN, s’est occupé de l’allée d’en face... Un Monsieur NAUDIN tantôt disparu et introuvable, tantôt « sans doute hospitalisé »… pendant trois ans (!!!), dixit la Juge BAILLARGEAUX qui prendra soin de ne jamais l'auditionner, car je pense que NAUDIN ne souhaite pas tremper dans cette grosse magouille et pourrait donc dire le contraire de "ce qu'il faut dire officiellement" ! Mr BOURENANE déclare ensuite que c’est lui seul qui a replacé tous les objets funéraires appartenant à Mr MEDINA. Or, si l’on retrouve bien une partie de ces objets sur les tombes 9 et 10 dont Mr BOURENANE s’est fabuleusement occupé (bien que l’on n’ait, à ce jour, aucune preuve que ce soit lui qui ait été sur place au moment du délit), il se trouve hélas que le reste qui n’a pas été volé de la croix amputée de mon grand-père se retrouve aussi dans la tombe 37, c'est-à-dire, dans l’allée d’en face ! Or, tous les objets funéraires présents sur place en 2010 provenaient d’une seule et même tombe, celle de René MEDINA. Mr BOURENANE ou qui que ce soit d’autre ne pouvait donc en aucune manière se tromper en replaçant au même endroit tout ce qui y avait été pris. Il n'y avait ici aucun besoin de mémorisation quelconque. Mais admettons encore que je veuille croire à ce propos d’une profonde débilité, évidemment validé par la justice corrompue de France (!!!)… Comment expliquer que l’on retrouve un objet de René MEDINA dans une troisième sépulture qui ne concerne absolument pas le secteur de travail de Mr BOURENANE, à savoir : la tombe n°37 située dans une allée relevant, a priori, du seul travail de son collègue Sylvain NAUDIN dont personne n’a jamais pu entendre aucun témoignage à ce jour, avec la bénédiction totale et bien calculée de la justice française dévoyée !

Mais il y a plus grave encore, lorsque les affirmations de BOURENANE varient de manière totalement opposée entre l'Ordonnance de non lieu de la Juge BAILLARGEAUX en 2013 et l'Arrêt de la Cour d'appel de Dijon en 2014. Une contradiction de jugements, détail inadmissible, qui était l'un de mes moyens d'appel et méritait vraiment que l'on me donnât raison. Mais une fois de plus, j'ai eu "tort" et la justice dévoyée de France a donné raison à son élément très discipliné et totalement à ses ordres : La Magistrate BAILLARGEAUX, bien sûr !

Bref... Ali BOURENANE déclare d'abord que lorsqu'il est arrivé sur la tombe de René MEDINA, sa grande croix principale - je cite - "ne tenait plus debout et le bois, datant de 1984, était vermoulu". Tout d'abord, Mr BOURENANE devrait nous expliquer comment il est en mesure de déterminer l'âge exact des deux pans de bois de la croix, alors qu'il ne connaît nullement ma famille et que ce détail n'est connu de personne. Tout comme Madame LEVY-BARBIER de la Cour d'appel de Dijon et Monsieur BEGHIN de la Cour de Cassation, Monsieur BOURENANE voit peut-être ces choses dans une boule de cristal ?! Toujours est-il qu'il fait ici une description toute personnelle de la matière d'un objet, ce qui prouve qu'à son arrivée, cette matière était présente sur les lieux et qu'il l'a bien vue. Mais Monsieur BOURENANE déclare aussi, dans le sens complètement inverse, que lorsqu'il est arrivé sur les lieux, les pans de bois n'étaient plus là !!!!!! Le problème, c'est que ses deux déclarations totalement opposées sont censées être une seule et même pièce du dossier. Comment deux déclarations contraires peuvent-elles être une même pièce d'un dossier ? Qui raconte n'importe quoi ici ? Qui a falsifié quoi, entre l'Ordonnance de non lieu de 2013 et l'Arrêt de la Cour d'appel de Dijon en 2014 ?! Faux et usage de faux, ce serait vraiment le summum !

Notez, au passage, ces détails troublants et révélateurs du côté pas clair de cette affaire où les mensonges sont légion depuis près de six années :

- Ali BOURENANE fournira une adresse postale à laquelle il ne réside plus depuis longtemps. Et l'Administration judiciaire continuera pourtant de lui expédier à cette adresse erronée toutes les copies de ses "jugements", pourtant celle-ci ne pourra jamais ignorer un seul instant que BOURENANE ne réside pas à l'endroit communiqué par lui, pour la bonne raison que les jugements, étant adressés par plis recommandés, ceux-ci ont forcément dû être retournés, à un moment donné, à leur expéditeur... Le tribunal !

- Ali BOURENANE se rendra à plusieurs reprises dans le même café que moi, le matin, et ira jusqu'à se mettre à côté de moi au comptoir, pour me narguer avec un joli petit sourire en coin. Quelqu'un a bien dû l'y envoyer !

- Ali BOURENANE a été soi-disant licencié de la SDAT, après l'affaire de la tombe, pour cause d'absentéisme et d'alcoolisme. Or, nous l'avons vu en début de page, l'alcoolisme est au contraire une condition qui permet d'être pris en charge par la SDAT ! Enfin, la Famille MEDINA aimerait beaucoup savoir comment a été négocié le licenciement de ce monsieur, car par définition, un absentéiste est une personne qui en a marre de se rendre à son travail. Aussi, un licenciement constitue donc une véritable bénédiction du ciel pour un individu qui veut quitter son poste ! Un licenciement rondement mené, j'imagine... A combien le départ, s'il vous plaît ?

- Ali BOURENANE, jouant le rôle du parfait "pauvre hère un peu bébête", mais qui est, dans la réalité, assez intelligent pour lire les ouvrages d'une auteure britannique traitant du "développement personnel", se présente détendu à sa "convocation" devant la Juge BAILLARGEAUX. Il ne semble être inquiet de rien. Placé sous le statut de "témoin assisté" durant son audition bateau (à laquelle je n'ai jamais assisté pour vérifier qu'elle était réelle !), il ne voit pourtant jamais la nécessité d'être représenté par un avocat qui défende ses intérêts. Un homme  comme lui peut se défendre seul et n'a pas besoin d'un avocat ? C'est une blague, j'espère ! Je vais vous dire pourquoi il n'a jamais eu le moindre besoin de recourir à un avocat pour le défendre : Mr BOURENANE ne sert ici que de "prête nom". Son nom sert à effacer dans notre dossier celui de REBSAMEN et du reste de sa clique de francs maçons impliqués dans des délits illégaux et graves. Le licenciement de BOURENANE a été très bien négocié, une aubaine pour l'intéressé qui, en retour, a juste laissé inscrire son nom dans un dossier jusque là complètement vide, avec l'assurance de n'être ensuite inquiété de rien. Il s'agit, en clair, d'un témoin de complaisance, totalement fabriqué pour la circonstance, pour étouffer cette affaire qui gêne les intérêts politiques et la carrière de REBSAMEN. Voilà pourquoi la Juge BAILLARGEAUX ne touchera à rien dans ce dossier durant toute l'année 2012, voilà pourquoi elle attendra que s'écoule 1 an entre la fin de ses imaginaires "investigations" et l'audition de sa "trouvaille" nommée BOURENANE. Car, évidemment, trouver quelqu'un d'assez corruptible pour tremper dans une magouille comme celle-là, ce n'est pas facile. Cela ne se rencontre pas sous le sabot d'un cheval et cela prend donc un certain temps ! Plus d'un an, en l'occurrence !...
A L'IMAGE DE TOUS LES AUTRES,
ALI BOURENANE EST EGALEMENT UN BEAU MENTEUR !
HELAS, C'EST SUR SA SEULE PAROLE DE MENTEUR QUE REPOSE TOUT CE DOSSIER COMPLETEMENT BIDON !
GRAVISSIME POUR LA JUSTICE ET LA DEMOCRATIE !
Monsieur Jean-Claude GAUTHEROT
Conservateur du cimetière de Dijon

Je vous passerai les détails de son comportement vraiment pas clair du tout à l'égard de ma famille qui confirme, si besoin est encore de le faire, que ce Monsieur, qui tente bien maladroitement de nous dépeindre depuis 2010 "sa vérité" sur ce qui s'est produit dans le cimetière dont il dirige les équipes d'employés, est très loin de la vraie vérité qu'il nous cache délibérément (Omerta oblige !), mais connaît par ailleurs parfaitement.

Nous conservons, à des fins de véritable justice, un souvenir audio d'une conversation de 21 minutes, entre lui, ma grand-mère et moi, le 21/01/2014, au cours
de laquelle les contradictions et mensonges de ce Monsieur ont été remarquables et ses silences, vraiment plus qu’éloquents ! Des silences qui parlent parfois mieux encore que des mots !

Monsieur GAUTHEROT, affirmera - je cite - "avec force et conviction", "de manière certaine", c'est à dire sans aucun doute possible, qu'aucune tombe n'a été relevée entre 2000 et 2010 dans le polygone 29 où repos(ait) mon grand-père. Il le maintiendra à plusieurs reprises, avant de se raviser totalement, au moment où j'ai commencé à faire courir sur internet les preuves du contraire. Il a donc été contraint de revoir sa copie et de déclarer finalement qu'une tombe avait bien été relevée aux alentours de celle de mon grand-père... En 2009 ! J'ai, entre temps, pu agrémenter sa nouvelle version, en prouvant que d'autres tombes l'avaient aussi été, notamment en 2006, 2010 (celle de mon grand-père !)... Si Monsieur GAUTHEROT est revenu sur ce qu'il affirmait pourtant avec CERTITUDE (Incroyable mais vrai !), ce ne sera pas le cas de la Procureure TARRARE qui maintiendra ce même mensonge d'origine, dans son courrier du 1er Juin 2015 !

CONCLUSION :
MONSIEUR GAUTHEROT EST UN MENTEUR DE PLUS
DANS CETTE IGNOBLE FARCE DE JUSTICE !
Mais en plus d'être un beau menteur patenté, Monsieur GAUTHEROT a fait quelque chose de plus grave encore et totalement illégal !

Quelques jours avant mon audition mascarade dans le bureau de Franck
.'. VAURIS le 17 Février 2014, Monsieur .'. GAUTHEROT s'est livré sur ma soeur à un véritable bourrage de crâne, en lui faisant avaler des choses hallucinantes, comme par exemple : "A l'endroit où se trouve votre grand-père, il y a de l'eau et il se peut que le corps soit toujours intact", "quand on va ouvrir la tombe, on va refaire un beau cercueil à votre grand-père"... Et tout ceci dans quel but ? Dans le but de replacer, sur ce qui reste de la sépulture familiale d'origine, en présence de ma soeur, tous les objets funéraires qui ont été "dipersés" sur trois tombes de manière particulièrement glauque, en 2010. Et pourquoi ? Rappelez-vous... Nous sommes à ce moment là à quelques semaines des élections municipales. Vous voyez ce que je veux dire ?... Il fallait à tout prix effacer cette scène d'horreur au cimetière, au cas où j'aurais eu l'idée d'envoyer sur place quelques journalistes un peu curieux...

Le problème, c'est que ma soeur est moralement très affectée depuis la profanation de la sépulture de son grand-père qu'elle adorait, même si elle l'a brièvement  connu. Il était facile de faire croire n'importe quoi à une personne qui, moralement, ne va pas bien du tout. Ma soeur était, à ce moment là, dans un vide affectif terrible et une solitude profonde et donc, dans un état de vulnérabilité psychique extrême. Il n'était alors pas très compliqué pour Monsieur GAUTHEROT d'arriver à ses fins. Celui-ci affirmera d'ailleurs que c'est ma soeur seule qui a replacé tous les objets funéraires. L'intéressée m'a affirmé le contraire : Mr GAUTHEROT l'a bien aidée et a donc touché lui-même à la scène de l'infraction pénale, dans le but de faire disparaître celle-ci et ce, en pleine procédure judiciaire, car à ce moment là, mon appel du non lieu se trouvait à l'étude à la Cour d'appel de Dijon. Il était évidemment impossible à ma soeur de replacer seule certains objets, notamment les restes de la croix en fonte lourde, car elle a de gros soucis de dos et tenait à peine debout, à ce moment là. L'action de Monsieur GAUTHEROT dans l'effacement de cette scène d'infraction est, dès lors, une certitude, une évidence. Ceci est gravissime et relève du Code pénal, car la Famille MEDINA accuse sans aucun doute possible Monsieur GAUTHEROT d'abus de faiblesse sur la personne de ma soeur, au début de l'année 2014, et d'avoir illégalement contribué à effacer, en pleine procédure, la scène d'un délit pénal.

Sachez que ce nouveau et énième délit grave reste totalement couvert par le silence de la Procureure Marie-Christine TARRARE qui ne daigna jamais donner suite à ma plainte de Février 2014 au sujet de ces nouveaux faits. ELLE EN EST DONC DESORMAIS LA COMPLICE !



François REBSAMEN
Maire de Dijon et "patati et patata", car en général, un seul mandat ne lui est pas suffisant. Il les collectionne... Et on voit où ça mène !

Ce Monsieur a été, dans cette affaire, une véritable honte à sa fonction de Maire. Pire que lui, ma Famille n'aurait pas pu trouver !!! Vis à vis de nous, ce personnage n'a pas manqué seulement à l'un de ses devoirs. Non ! Il a au contraire manqué à TOUS SES DEVOIRS !!! Il n'est donc pas "une seule fois" responsable pénalement de tout ce qui s'est passé, mais pénalement responsable de tout cela à de multiples reprises ! Et il convient de noter que, dans une affaire quelconque, la responsabilité pénale du maire peut être engagée dans la mesure où il est établi qu'il n'a pas accompli les diligences normales découlant des moyens et pouvoirs dont il disposait. Or, je rappelle que :

1 - Lorsque la première profanation de la tombe MEDINA a eu lieu, ni le Maire REBSAMEN, ni la Mairie de Dijon par un quelconque de ses Services, n’a contacté ma famille pour l’informer des faits qui étaient pourtant connus du conservateur du cimetière. J’ai dû hélas le découvrir par hasard et par moi-même, plusieurs mois après qu’ils ont eu lieu, avec le choc considérable que cela représente humainement. En clair : Si personne de ma famille n’avait visité ce cimetière, nous ne serions peut-être encore au courant de rien en 2015 !!! Et ça, c’est clairement un manquement grave à la fonction de Maire !

2 - Par la suite, Mr REBSAMEN n’a jamais essayé d’entrer en contact avec ma famille pour lui proposer quoi que ce fût, pour la recevoir en son bureau et en discuter, ni pour manifester un minimum de regret et de désolation pour tout cela.

3 - Lorsque les faits ont continué sur une, puis deux, puis trois de nos tombes (!!!), de manière incessante, (et d’ailleurs, cela continue en 2015 !), Mr REBSAMEN n’a nullement usé de ses pouvoirs de police pour que cela cessât et que le cimetière retrouvât un peu d’ordre et de tranquillité. Non, il n’a strictement pas bougé le petit doigt pour faire stopper cette folie totale et encore jamais vue auparavant. Pire, il a continué de se moquer de nous et d’en ricaner !

4 - Non content d’avoir laissé faire, REBSAMEN a de surcroît mandaté lui-même la SDAT pour toucher illégalement à notre première tombe et nous savons où ses lubies pathétiques ont conduit. Il a, de plus, facilité tous les moyens qui ont mené à ces opérations illégales et a l’outrage qui a été fait à la dépouille mortelle de mon aïeul !

5 - Le Maire est le garant du respect du repos des morts dans le cimetière dont il a la pleine charge de gestion ! Il est le seul à pouvoir notamment délivrer les autorisations d'inhumation, mais aussi, d'exhumation !

A la vue de tout cela et de la récurrence des faits, je peux le confirmer sans aucune erreur possible : REBSAMEN, EN SA QUALITE DE MAIRE, EST TOTALEMENT ET PENALEMENT RESPONSABLE DE CE QUI S'EST PRODUIT ET TOUT CECI NE RELEVE PAS DE LA SIMPLE ERREUR FORTUITE, MAIS BIEN D’INTENTIONS MALVEILLANTES QUI RECLAMENT, EN CONSEQUENCE, UNE QUALIFICATION PENALE !




Alain MILLOT,
Adjoint de REBSAMEN et responsable du Service "Cimetière" à la Mairie de Dijon de 2010 à 2014

Il a été, de loin, celui qui a le plus manqué de respect aux morts du Cimetière dijonnais des Péjoces qu'il n'a pas hésité à faire mettre, à de nombreux endroits, sens dessus dessous, afin de réaliser ce qu'il nommait son "grand nettoyage". Des films faits par mes soins au cimetière montrent les horreurs que l'on peut y voir en flânant au détour de ses allées. Un manque de respect total envers les défunts !

Il a bien ri de nous, de notre souffrance, de notre dossier. Pire, les attaques sur nos tombes se sont intensifiées dès qu'une demande de renouvellement d'une autre de nos concessions (échue, celle-là) est arrivée, libellée à mon nom, sur son bureau ! Mais il ne l'a pas emporté au paradis et ces profanations répétées ne lui auront pas porté chance bien longtemps. Car c'est lui qui est mort maintenant...

Décédé le 27 Juillet 2015, Alain MILLOT échappe ainsi à la piètre justice des hommes. Mais il se pourrait bien qu'il doive maintenant affronter ailleurs une autre justice à laquelle on n'échappe pas. Une justice bien plus juste, cette fois !


EN RÉSUMÉ :

TOUT CE BEAU MONDE N'A FAIT QUE COUVRIR LES COUPABLES, ÉTOUFFER ET TAIRE LA VÉRITÉ, ET MENTIR, MENTIR TOUJOURS PLUS AUX VICTIMES, TOUT EN PRENANT CELLES-CI VRAIMENT POUR RIEN DU TOUT... POUR DE LA MERDE !

CE POUR QUOI IL EST ABSOLUMENT IMPOSSIBLE D'EN RESTER LÀ, SACHANT QUE MA GRAND-MÈRE NE SAIT DÉSORMAIS PLUS OÙ ELLE POURRA ÊTRE INHUMÉE À SON DÉCÈS, ALORS QU'ELLE AVAIT POURTANT PRÉVU POUR CELA, DÈS 1984, UNE CONCESSION DE DEUX PLACES POUR REPOSER PRÈS DE SON MARI ! UNE CONCESSION AUJOURD'HUI SOUILLÉE ET RASÉE DE LA CARTE ! QUANT AU CORPS DU DEFUNT... OU SE TROUVE-T-IL ?!

CES BONIMENTEURS NE S'EN SORTIRONT PAS À SI BON COMPTE !

JE SAIS DE SOURCES SÛRES QUE L’AMPUTATION DE LA CROIX DE RENÉ MEDINA RÉSULTE D’UNE OPÉRATION MÉCANIQUE À LA PELLETEUSE, CE QUI SOUS ENTEND BIEN UNE ATTEINTE A L’INTÉGRITÉ DU CADAVRE DE MON AÏEUL, QUI IMPLIQUE DONC, EN CONSÉQUENCE, UNE ACTION AU PÉNAL POUR DÉLIT DE VIOLATION ET PROFANATION DE SÉPULTURE RELEVANT DE L’ARTICLE 225-17 DU CODE PÉNAL !
Et ce théâtre, farce de "justice" honteusement servie à la populace avec son propre argent, fonctionne de même, quel que soit le bord politique du Pouvoir !
DERNIERE MINUTE !!!
J'ai adressé au Conseil Supérieur de la Magistrature, sous forme de plainte, en bonne et due forme et dans les délais réglementaires, une dénonciation des crimes de ces magistrats, afin que ceux-ci soient sanctionnés. Ma lettre recommandée du 25 Janvier 2016 est parvenue au CSM le 26 Janvier 2016, comme l'atteste l'avis de réception ci-dessous.
Nous sommes, au moment d'écrire ces lignes, en Juin 2016 et... J'attends encore une hypothétique réponse de cette Institution ! Par conséquent, non seulement j'accuse aujourd'hui le CSM de couvrir à son tour les crimes des siens, mais en plus, je peux aisément l'accuser de "publicité mensongère" ! Car, en effet, on trouve sur le site web du CSM, la mention suivante : "vous en informe". Comme l'atteste la capture d'écran ci-dessous ! De plus, conformément à la nouvelle législation, les uns et les autres n'ayant pas répondu, ils confirment donc tous qu'ils valident tout ce que je leur ai écrit. Leur silence vaut totale acceptation.
Soit la plainte est recevable et dans ce cas, elle est traîtée et donc, on en reçoit des nouvelles. Soit elle n'est pas recevable, et dans ce cas, le CSM promet d'en informer l'auteur de ladite plainte. Aussi, quand on promet à autrui un service que l'on est ensuite incapable de rendre, cela s'appelle en quelque sorte de la publicité mensongère ! LA HONTE ! Mais le CSM n'est désormais plus le seul à couvrir les crimes des siens et donc, à s'en faire le complice passif !

Car, le 22 Mars 2016, afin de dénoncer les mêmes crimes, tel que la loi m'y oblige, j'ai également adressé une lettre recommandée au tout nouveau Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Jean-Jacques URVOAS (qui, au passage, va prendre ses consignes dans les loges maçonniques, lors de tenues blanches fermées, pour ceux qui savent de quoi il s'agit). Ma lettre lui est parvenue le 23 Mars 2016, comme l'atteste l'avis de réception ci-dessous ! A ce jour, elle reste aussi sans réponse ! Monsieur URVOAS couvre donc, à son tour, les crimes de ses Magistrats et en devient le complice passif ! Il couvre aussi, bien évidemment, son prédécesseur, Christiane TAUBIRA !
Enfin, j'expliquais tout à l'heure qu'en six ans, François REBSAMEN avait manqué à TOUS ses devoirs de Maire de Dijon. Avant de le faire citer prochainement à comparaître devant le tribunal, j'ai souhaité tout de même m'adresser personnellement à lui, pour la première fois, en lui demandant, pour éviter cette procédure et le scandale qui en découlera forcément, de proposer quelque chose de sérieux et honnête à ma famille, en réparation des outrages que nous avons subis durant plusieurs années dans son cimetière. Ma lettre recommandée lui a été adressée le 31 Mai 2016. Il l'a réceptionnée le 2 Juin 2016, comme l'atteste la photo ci-dessous. Un délai lui a été laissé jusqu'au 15 Juin 2016 pour faire cette proposition, sachant que ceci est raisonnable, au regard des six ans d'enfer que lui et ses Services calamiteux nous ont fait vivre ! Au jour de la rédaction de ces lignes de dernière minute, le 17 Juin 2016, le délai est dépassé et aucune proposition ne nous a été faite par François REBSAMEN. Je vous laisse donc en déduire ce qu'il faudra !
Je termine avec cette courte mais édifiante vidéo de quelques secondes qui dépeint la situation complètement ahurissante de ce pays qu'est la France, dans lequel nous avons maintenant un Président de la République qui vient clairement nous expliquer que, pour être Républicain, il faut forcément passer par la franc maçonnerie, à un moment donné !!! Alors là, si on n'avait pas encore tout entendu, c'est désormais chose faite ! En clair, celui qui est censé rester NEUTRE en toute circonstance, compte tenu de son statut de Président de TOUS les Français, nous explique sans aucun état d'âme ni retenue que pour être Républicain, il faut, certains soirs, s'amuser avec des squelettes, des cercueils, mais aussi communier dans des crânes humains et je passe sur le reste, tant il y aurait encore des choses sordides à conter ! C'est totalement DEMENT !!!

C'est la première fois qu'un Président de la Vème République se livre devant une caméra à une telle rhétorique absurde ! C'est comme si, d'un seul coup, un Président ou un Ministre, venait nous expliquer que, pour être Républicain, tous les Français doivent louer le Christ chaque matin ! On hallucine ! Ecoutez, c'est juste démentiel ! Donc, au point où nous en sommes ici, pas étonnant qu'on attende encore la vraie justice et que son copain REBSAMEN soit si bien à l'abri, protégé par toute cette clique !
CI-DESSOUS, LA CITATION MILITAIRE EXCEPTIONNELLE DU RÉGIMENT DE FEU LE SOLDAT RENÉ MEDINA, MON AÏEUL. ELLE FUT SIGNÉE, A L'ÉPOQUE, PAR LE GÉNÉRAL DE GAULLE EN PERSONNE !

QUE CEUX QUI ONT ICI MAGOUILLÉ ET MANQUÉ DE RESPECT AU PLUS HAUT POINT À CE SOLDAT ET À TOUTE MA FAMILLE N'OUBLIENT JAMAIS QUI ÉTAIT LE GRAND-PÈRE. AINSI, ILS SE SOUVIENDRONT TOUJOURS QUI EN EST LE DIGNE PETIT FILS !

VOYEZ QUI ÉTAIENT LE SOLDAT MEDINA ET TOUS SES FRÈRES D'ARMES DU 101ème RÉGIMENT DU GÉNIE. AUTANT DIRE QUE PAPA REBSAMEN ET TOUS LES MAGOUILLEURS DE CE DOSSIER DE TOMBES SOUILLÉES SONT LOIN D'EN AVOIR FAIT AUTANT ! IL PRÉFÈRENT, EUX, SE CACHER LÂCHEMENT DERRIÈRE LEURS BEAUX HABITS DE "JUSTICE" POUR RENDRE ENVERS LES VICTIMES DES TORCHONS D'INEPTIES QUI SONT UNE VÉRITABLE HONTE À LEURS FONCTIONS ET AU PEUPLE FRANÇAIS !

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