Je m’appelle Franck MEDINA. Je suis Citoyen français et petit fils d’un ancien Combattant de la guerre 1939 - 1945 (Campagne d’Italie, Débarquement de Provence, Bataille de France, Bataille de Germersheim - Cité à l'ordre de l'armée française lors du franchissement du Rhin à Germersheim, 31.03.1945).

Mon grand-père est décédé en 1984. De son inhumation jusqu’à il y a cinq ans encore, celui-ci reposait tranquillement dans sa tombe sans déranger quiconque. Mais voilà... Au printemps 2010, Mr REBSAMEN en a décidé autrement et ce, dans la plus totale illégalité ! Car, sous prétexte de vouloir à n’importe quel prix réinsérer dans le monde du travail des personnes problématiques, le maire de Dijon s’est cru autorisé à envoyer dans le dos de toute ma famille et sans jamais la consulter, des énergumènes de sa “merveilleuse” SDAT ou Société Dijonnaise d’Assistance par le Travail, pour mettre un foutoir encore jamais vu auparavant dans la tombe de mon aïeul dont le titre de concession restait pourtant valide jusqu’au 21 Mai 2014 ! (Renouvelé depuis, jusqu'au 21 Mai 2029) Regardez, Mesdames et Messieurs, les conséquences catastrophiques et irréversibles de cette action totalement illicite. Voilà comment François REBSAMEN et ses services traitent un Combattant de la France dans sa dernière demeure... SANS MÊME LE REGRETTER ENSUITE !

Croyez-vous qu’après avoir été informé de cela, Mr REBSAMEN aurait manifesté une certaine désolation auprès de ma famille ?! Croyez-vous qu’il lui aurait présenté des excuses et lui aurait proposé au minimum de la recevoir en son bureau pour en discuter ?! Bien sûr que non, Mesdames et Messieurs ! Ne demandons quand même pas le minimum à cet homme orgueilleux, car ce serait déjà trop lui demander !

Non, au lieu d’être désolé, il a, au contraire, continué de faire comme si tout allait bien, de rigoler partout dans la presse et à la télévision, comme s’il ne s’était rien passé ! En cinq ans, il n’a jamais téléphoné ni écrit une seule fois aux victimes de sa folie des grandeurs, n’a jamais rien proposé ! En clair, la souffrance qu’il inflige aux autres n’est pas du tout son problème ! Depuis le début, il s’en contrefiche !!! Non seulement il n'a rien fait lors de la première profanation, mais il a laissé, en plus, des saletés se reproduire durant des années sur une, puis deux, puis trois de nos tombes sans bouger le petit doigt ! Mais, après tout, pourquoi s’attarderait-il sur la sépulture modeste d’un pauvre petit Combattant de la France qui se battait pourtant pour sa liberté future quand il n’était même pas encore sur Terre, alors qu’il assimile déjà, en Mars 2010 dans une vidéo sur internet, la profession militaire à celle de “boucher”, dans le sens péjoratif et méprisant du terme évidemment, tout en se payant quand même le culot de défiler le 11 Septembre 2013, soit 6 mois avant les élections municipales (!!!), aux côtés de ceux qu’il a insultés ! Voici cette vidéo éloquente de sens...
Nous comprenons aisément pourquoi mon grand-père n’est pas la tasse de thé de Mr REBSAMEN qui joue ici de malchance, car ma famille est pleine de militaires de carrière qui n'apprécient que très peu son "humour" à deux francs cinquante !

Nous le découvrons aussi d'autant mieux, lorsque nous apprenons qui était le papa de François REBSAMEN !





















Voici en effet le « gentil » papa de celui qui porte aujourd’hui, avec ses Services, la responsabilité de la profanation de la tombe de mon aïeul, Combattant de la France... Voici feu Erich Gottfried REBSAMEN (Stuttgart, 09.01.1917 - Dijon, 19.02.1974), ici photographié en costume hitlérien, lors de l'une de ses grandes sauteries nazies organisées CHEZ LUI et PAR LUI, aux côtés de ses amis, les criminels gestapistes VANGELDER et CHAPUIS-GRADOT. Tout à fait conscient que nulle n’est responsable des agissements de l’un de ses parents, je pourrais avoir, en d’autres circonstances, un minimum de compassion pour François REBSAMEN que le Destin a affligé d’un tel boulet au-dessus de la tête. Mais voilà… Par son comportement clairement pourri à l’égard de tous les miens, au cours des cinq années écoulées, François REBSAMEN m’a démontré, ainsi qu’à toute ma famille, que quoi que l’on fasse, la génétique est toujours plus forte que tout et que l’adage « les chiens ne font pas des chats » est d’une réalité indubitable et se vérifie fort bien ici. A travers son minable comportement, François REBSAMEN nous montre ici qu’il ne mérite, en fait, aucune compassion de notre part et qu’il ne vaut donc guère mieux que son défunt père, dont il est la parfaite copie génétique ! La descendance ayant d'ailleurs, à nos yeux, fait pire que le géniteur, puisque le père ne toucha pas à nos tombes sous l'Occupation !

Je ne pourrai jamais pardonner que le fils d’un collabo en panoplie de nazi soit le profanateur moral de la tombe d’un Combattant de ma famille, alors même qu’en cinq ans, il n’a jamais présenté aucune excuse, ni fait amende honorable pour ce qui s’est produit. C’est pourtant ce qui est désormais inscrit à jamais au patrimoine historique de ma famille et perdurera au-delà des siècles, lorsque nous ne serons plus ! Aujourd’hui, je comprends mieux, en regardant la photo de son cher papa ci-dessus, et compte tenu de sa suffisance et de son mépris envers nombre de personnes, pourquoi François REBSAMEN n’a nullement envie de s’excuser auprès de nous !


A travers ces faits au cimetière, nous avons en tout cas une preuve flagrante du ravage que peut occasionner le cumul des mandats dont Mr REBSAMEN est l’un des grands spécialistes dans notre région. Car il est évident que lorsque l’on collectionne les fonctions comme d’autres collectionnent les timbres-poste, on ne peut pas se trouver à maints endroits différents au cours d’une seule et même journée de travail. C’est physiquement impossible ! Alors, on imagine qu’il faut dans ce cas sous-traiter, confier, déléguer... Ce qui mène parfois à des catastrophes !

Sauf que, dans le cas précis du cimetière, c’est totalement différent, car aux termes de la loi, SEUL LE MAIRE est habilité à délivrer les autorisations d’inhumation, d’EXHUMATION et de travaux dans le cimetière communal dont il a la pleine charge de gestion et dans lequel il est aussi juridiquement, par sa fonction de maire, le “garant du respect du repos des morts”. Ah oui, quand on voit les photos ci-dessous, on se dit que c’est vraiment plus que “réussi” !

VOICI LA TOMBE DE MON GRAND-PÈRE...
La tombe de mon aïeul était certes de facture modeste, mais les gens sont libres de leurs choix funéraires en France et ont encore le droit, dans ce pays, de refuser un luxueux mausolée de marbre au-dessus de leur tête, si telle est leur conviction ! Cette tombe était régulièrement fleurie, n'empiétait pas sur le domaine public et était dûment payée par sa veuve, facilement joignable en cas de doute ou de problème à ce sujet ! Mais surtout... LA TOMBE CONTENAIT UN MORT, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui !

Des sépultures largement pires, à quelques mètres de mon grand-père dans le même polygone, ont fait l'objet d'un dépôt de gravette tout autour d'elles, mais avec une stricte délimitation d'un rectangle autour de ces tombes sans toucher à la surface de celles-ci. Par conséquent, pourquoi celle de mon grand-père a-t-elle subi cet ignoble "traitement de faveur" de la part des Services de Mr REBSAMEN, avec une telle redisposition des seuls objets funéraires appartenant à mon aïeul sur plusieurs tombes voisines, d'une manière clairement rituelle, pour ne pas dire satanique ?!

Juridiquement, je rappelle que les allées du cimetière et inter-tombes relèvent du domaine public. Mr REBSAMEN peut donc y faire ce qu'il veut dessus. Mais les tombes en elles-mêmes relèvent, aux termes de la loi, du domaine privé. Elle sont la propriété privée des concessionnaires qui bénéficient sur elles d'un DROIT REEL IMMOBILIER. Mr REBSAMEN ne peut y déplacer ne serait-ce que le moindre caillou, sans une autorisation en bonne et due forme desdits concessionnaires !

La législation de notre pays ne peut pas être plus claire. C’est d’ailleurs l’une des plus claires en la matière : La loi française protège la sépulture contre TOUTE INCURIE OU DÉSINVOLTURE de la part des SERVICES MUNICIPAUX, (Partout en France, donc Y COMPRIS À DIJON !)

Aussi, pour des faits similaires, le TGI de Lille a condamné en 1998 la mairie de cette même ville au titre de la VOIE DE FAIT, en retenant pour cela la célèbre jurisprudence du TRIBUNAL DES CONFLITS qui, en date du 25 Novembre 1963, retint la « qualification de VOIE DE FAIT lorsqu’une ATTEINTE ILLICITE est portée à la sépulture par une PERSONNE PUBLIQUE ».

Le simple fait de recouvrir d’une terre provenant d’ailleurs et sans avertissement une sépulture considérée, à juste titre, comme un lieu sacré est constitutif d’une violation de celle-ci = constitutif d’une voie de fait.

« La concession funéraire procède d’un contrat d’occupation du domaine public. Le concessionnaire dispose d’un droit réel immobilier sur la concession ainsi octroyée. Et la voie de fait est donc constituée lorsqu’il y a atteinte à la propriété privée, mais aussi, par extension, au droit réel immobilier du concessionnaire. » (Tribunal de Grande Instance de Lille, 26 Novembre 1998). En l’espèce, la voie de fait est également constituée lorsqu'est constatée une atteinte au respect dû aux morts, liberté fondamentale. CE PRINCIPE EST JURISPRUDENTIEL !!!

La violation du respect dû aux morts et aux sépultures a été assimilée par le Tribunal des Conflits à la violation d’une liberté fondamentale. (Tribunal des Conflits, 25 Novembre 1963). Ceci fut confirmé à nouveau par la Cour Européenne des Droits de l’Homme au début des années 2000.


Je rappelle à Mr REBSAMEN que si sa qualité de maire lui assure un certain nombre de droits, elle l'astreint également à un certain nombre de devoirs. Et le premier de ses devoirs est de ne pas outrepasser ses droits. Ce qu'il ne s'est visiblement pas gêné de faire ici, sans aucun scrupule ni état d'âme !

Mr REBSAMEN peut donc pourrir la vie de toute une famille depuis cinq ans et notamment celle de la VEUVE, ma grand-mère âgée et malade de tout cela, en toute illégalité et sans s’excuser de rien, puisque toute l’administration française, unie dans l’indécence et le mensonge, trouve que ce délit pourtant gravissime est normal et, a priori, il n’y a pas de raison que cela s’arrête, puisque, vous allez le voir plus bas, les amis de Mr REBSAMEN, bien installés dans tous les services de Dijon et de France, agissant au nom d’une célèbre fraternité universelle “qui transcende la loyauté nationale” (Mieux vaut être sourd que d’entendre pareille ineptie !) travaillent à minimiser ces faits au maximum et à dédouaner complaisamment leur petit copain de ses responsabilités, en prenant soin, au passage, de tourner les victimes en dérision, de les mener en bateau, de les mépriser comme ça n’est pas permis et, pourquoi pas, de les faire aussi passer pour folles !... Leur méthode désormais classique ! Sauf que leur disque, à force, est un peu rayé !...

Les décisions de justice étant rendues au nom du bon Peuple français, il convient donc que je vous informe de ce qui est décidé ici bas, de manière inique, EN VOTRE NOM, Mesdames et Messieurs, car n’en doutez point : VOUS ÊTES - NOUS SOMMES - LE PEUPLE DE FRANCE, SEUL SOUVERAIN DE CE PAYS ! Hélas, ceux qui nous représentent et nous dirigent si mal semblent l’avoir oublié depuis bien longtemps !

Nous déléguons certes à des tiers le pouvoir colossal de juger. Oui, mais à condition que les jugements rendus le soient dans le respect des victimes, des faits et des procédures. Rappelons que nos dirigeants ne sont pas nos employeurs, ils sont nos employés, car ils ne sauraient exister sans nous. Je ne suis pas contre la démocratie représentative, mais à condition que nos représentants ne nous traitent pas comme leurs bouffons de service au quotidien ! Auquel cas, autant passer à la démocratie directe, nous serons mieux servis !

N’oubliez jamais que personne n’a le droit d’user de ses pouvoirs, quels qu’ils soient, pour vous mépriser et vous traiter comme des gens de peu, des gens de rien !

Dans le cadre de la misérable affaire relatée sur cette page, je rappelle qu’aucun texte de loi ne dit que des magistrats ont le droit de nous traiter comme ils ne se sont pourtant pas privés de le faire. Aucune loi, française ou européenne, ne dit que les miens et moi-même devons nous laisser pareillement ridiculiser et insulter, tout cela pour protéger à tout prix la carrière d’un élu qui n’assume pas les conséquences de ses actes !

LES MEMBRES DE LA FAMILLE MEDINA, COMME TOUT AUTRE CITOYEN DE FRANCE, NE SONT PAS LES CHIENS DE CET ETAT, NI LES CHIENS DE SA JUSTICE ET, ENCORE MOINS, LES CHIENS DE Mr REBSAMEN et de son pathétique Club dont je rappelle qu’il se compose, entre autres, de Mr Yves BERTELOOT, embarqué par la police après avoir fait un cinéma, alcoolisé sur la voie publique ! Mais aussi, de Mme Françoise TENENBAUM qui conseille aux gens d’aller consulter un vétérinaire quand ils sont malades et qu’il n’y a pas de médecin près de chez eux, au cas où les gens seraient pourquoi pas des poules, des vaches ou des cochons ! Ah, la belle équipe, vraiment !...

Nous ne demandons pas ici la lune, mais juste le minimum de respect dû à tout être de cette planète. Et ce minimum exclut catégoriquement d’être menés en bateau, trompés, manipulés, et gavés pendant cinq ans d’inepties inadmissibles et de mensonges qui se voient comme le nez au milieu de la figure. Des mensonges démontés un à un par mes soins dans deux vidéos que vous allez pouvoir visionner plus bas !

La justice est censée être indépendante, neutre et impartiale. Mais comment le serait-elle lorsque des francs-maçons s’accordent mutuellement des faveurs au nom de leur grande fraternité, y compris au détriment des victimes et des faits ? Comment le serait-elle encore, lorsque celle-ci se vante ouvertement d’avoir la plupart de ses syndicats classés “très à gauche” et va jusqu’à défiler aux côtés de la CGT et des “antifas” ?! Ce qui est inouï ! C’est cela, l’indépendance, la neutralité et l’impartialité auxquelles nous avons pourtant tous droit, aux termes de la législation en vigueur ?! Il est bien évident que lorsque ceux-ci découvrent que vous ne pensez pas comme eux, vous êtes vite “jugés” d’avance ! Et vous finissez ensuite épinglés sur un MUR DES CONS pour faire rigoler les copains qui s’ennuient à la pause de midi ! Un mur digne d’une cour d’école primaire et qui ne doit sûrement pas être le seul en France ! Un mur honteux qui n’a rien à voir avec un mur “photographique”, comme l’a trop tendrement nommé Mme Christiane TAUBIRA, car n’en déplaise à Mme la Garde des Sceaux : Si ce mur n’était pas un mur des CONS, on n’y trouverait évidemment pas la mention que l'on voit très clairement écrite dans le film ci-dessous ! Je rappelle que nous sommes au vingt-et-unième Siècle... Ceci est hélas le reflet d'une détestable et inacceptable mentalité généralisée partout en France. Cette façon de traîter les autres ne peut plus durer, ce mépris et cette condescendance doivent cesser !
                AVANT                                            MAINTENANT !!!
         (De 1984 à 2010)                   
(Grâce au Grand Club REBSAMEN !)
MAIS QUAND ON ÉLARGIT LE PLAN, ON TROUVE ENCORE PLUS FORT SUR PLACE !...
GRANDIOSE !!!
Et puisque l'occasion m'est donnée de le préciser ici : Je rappelle que la franc-maçonnerie n'a pas été inventée pour enfreindre la loi, ni pour protéger ceux qui l'enfreignent ! Or, le souci majeur, c'est que ses membres sont tenus par des serments forts, au travers d'une fraternité qui va au-delà de la loi que vous devez, Mesdames et Messieurs, respecter chaque jour. Et c'est bien ceci qui est intolérable, en matière judiciaire. Car une telle forme de fraternité mène obligatoirement à du copinage, des combines et connivences, de la complaisance, des renvois d'ascenseur, des trafics d'influence, etc...

La franc-maçonnerie est donc totalement INCOMPATIBLE, par exemple, avec les métiers de la magistrature. Car, encore une fois, à cause desdits serments qui "transcendent la loyauté nationale", les francs-maçons s'entraident et se protègent entre eux, au détriment des autres. La justice ne peut pas s'appliquer de manière sereine, indépendante, neutre et impartiale, lorsque des magistrats francs-maçons ou étroitement amis de ceux-ci se retrouvent, dans une affaire quelconque, face à des mis en cause qui le sont aussi !

Voici, à ce propos, le court témoignage d'un Américain qui fut franc-maçon du quatre-vingt-dixième degré (Peu le savent, mais cela existe !) et bien plus encore. Aujourd'hui, il n'est plus rien de tout cela. Voyez les révélations édifiantes qu'il fait sur le court film ci-dessous. Evidemment, ceci est un véritable secret de polichinelle, désormais. Puisque même si ce monsieur ne nous l'avouait pas, il y a longtemps que nous le saurions tous déjà ! Le fait que ce monsieur soit Américain ne change rien au problème. La franc-maçonnerie est une fraternité universelle qui fonctionne selon le même principe de base, quel que soit le pays : L'entraide systématique entre membres de l'Ordre, y compris au détriment de la loi et de ceux qu'ils nomment "profanes" !
Ceci constitue, en magistrature, un problème tellement majeur dans tous les pays du monde où la franc-maçonnerie existe que nos amis Italiens l'ont depuis longtemps réglé chez eux ! En effet, de l'autre côté des Alpes, une loi interdit depuis 1993 aux membres de loges maçonniques d'entrer en magistrature. De même, le Royaume-Uni, également voisin de la France, impose un cadre très strict aux francs-maçons qui prétendent à un poste dans le secteur de la justice. Ceux-ci doivent en effet obligatoirement déclarer leur appartenance à une loge avant de pouvoir obtenir le poste espéré. A quand la fin de ce même problème en France ? Un problème réel, sérieux et colossal qui empoisonne la vie des Français et mène bien trop régulièrement à des étouffements d'affaires gênantes (comme celle de la présente page, très exactement !!!) et des "non lieux" de pure complaisance ?

Je dois avouer que je connais un bon nombre de membres de cet Ordre. Certains sont des individus que je préfère vraiment éviter comme la peste. D'autres sont de bonnes connaissances que je respecte. Et je suis rassuré de savoir que ces amis trouvent ma démarche pertinente et reconnaissent eux-mêmes que le problème soulevé est bien réel. Tous savent aussi ce que je reproche à leur formation, car je suis une personne sincère, qui ne triche pas et je dis les choses comme elles sont, lorsqu'elles doivent être dites. Etre un vrai ami, c'est aussi dire à l'autre ce qui ne va pas !

Même si certaines pratiques maçonniques heurtent profondément ma conscience, je laisse chacun libre de faire ce qu'il veut, en privé. Mais à partir du moment où cela ne porte pas préjudice à autrui. Dans tous les cas, ils n'ont pas le droit d'utiliser leur appartenance privée à un groupe pour enfreindre la loi et / ou protéger ceux qui l'enfreignent et empêcher que la loi s'applique aux auteurs de délits. Surtout lorsque ces délits graves me concernent en premier lieu. Et ils ont encore moins le droit de remuer la terre de mes morts lorsque la loi ne les y a pas autorisés ! Ce qui est le cas dans l'affaire citée ici.

Qu'ils sachent enfin et n'oublient surtout pas que s'ils sont libres d'exister encore en 2015 en France, c'est grâce à la bravoure d'hommes comme mon grand-père, qui se sont battus dans les années 40 pour la liberté en général et, entre autres, pour leur liberté de réunion. Aussi, le Grand Orient de France aurait-il pu avoir la politesse minimum de répondre, en 2010, à ma lettre l'informant des agissements de l'un de ses membres à Dijon : Mr François REBSAMEN ! Car sans mon grand-père et ses frères d'armes, le GODF et les autres Obédiences maçonniques n'existeraient plus aujourd'hui !

Pour en revenir maintenant à ce mépris administratif, désormais généralisé un peu partout dans le pays et à l'affaire proprement dite de la sépulture de mon grand-père ancien Combattant, nous apprenons donc dans le réquisitoire du Parquet, également digne d’une cour d’école primaire, que ce qui s’est passé dans la sépulture de mon aïeul “n’est pas une violation ou une profanation de tombe”, mais au contraire, “UN TRAVAIL D’EMBELLISSEMENT” ! Oui, oui, vous avez bien lu, Mesdames et Messieurs, et vous avez pu aussi constater plus haut, en image, le magnifique "embellissement" dont il s'agit !!!

On y apprend aussi que si la croix de mon grand-père a été vandalisée pareillement, c’est parce qu’elle a été “RÉPARÉE” !!! Enfin, dans d’autres Ordonnances, la “justice” me fait savoir que je suis “outrancier” et “dramatise la situation” ! Il est vrai que, dès le début de cette mascarade de justice que l’on me dit être une “instruction judiciaire”, la juge Laurianne BAILLARGEAUX me suggérait déjà d’aller chercher quelque argent au civil pour refermer le dossier au pénal, me confondant un peu vite avec Judas Iscariote, je pense ! En clair : “Tout va bien, votre grand-père est encore tranquillement dans sa tombe” (Alors que plusieurs preuves et sources sûres confirment qu’il en a été exhumé !). “Ceci est un dysfonctionnement, Mr MEDINA, des “désordres” (Entre guillements !). Remettez donc les objets en place, il ne s’est jamais rien passé. Circulez, affaire suivante.” Non mais quel culot !!!

On nous a fait croire durant cinq ans que mon grand-père était encore bêtement dans la fosse où on l’a mis en 1984, alors que le “grand nettoyage” entrepris au cimetière des Péjoces depuis 2010 par Messieurs REBSAMEN et MILLOT, laisse un peu partout les polygones dans le misérable état que vous allez voir ci-dessous : A savoir, des dizaines et des dizaines de tombes relevées partout, alors que ce gigantesque cimetière n’est pourtant nullement à court de place dans l’immédiat. Des dizaines et des dizaines de frais pâtés de terre dégoulinante et autres trous béants à moitié rebouchés, offerts ainsi aux yeux du public et évidemment tous devenus ANONYMES par la force des choses, c’est à dire par la force dévastatrice des pelleteuses frénétiques de Mr REBSAMEN, et dont on voudrait nous faire croire qu’ils contiennent encore des morts ! On se fiche vraiment du monde sans le moindre scrupule ! Voyez, sur le film qui suit, quelques unes des horreurs que l'on peut découvrir désormais à Dijon, dans le  Cimetière des Péjoces qui fut pourtant lieu de paix et de tranquillité pour les morts, mais aussi pour les visiteurs vivants, de 1885 à 2010 ! Et allez vite y vérifier vos tombes familiales... On ne sait jamais !
Ainsi, la "justice" dijonnaise nous a fait avaler que mon grand-père est encore tranquillement au cimetière et que la pathétique SDAT choisie par Mr REBSAMEN pour retourner les tombes ne peut absolument pas exhumer des corps, car ses pauvres employés n'ont que de petites pelles et leurs petites "mimines" pour travailler !!! BEN VOYONS ! Regardez, Mesdames et Messieurs, de quel matériel de dernier cri ils bénéficient en réalité pour sortir le contenu des fosses sans trop d'efforts. Regardez aussi de quoi se vantait le conservateur du Cimetière des Péjoces, fin 2009 dans la presse (Environ cinq mois avant notre première profanation de tombe !), à travers un article intitulé "Le business de l'au-delà", dont rien que le titre fait déjà froid dans le dos ! Regardez, enfin, ce que confirme le site web de cette fameuse SDAT subventionnée par la Mairie de Dijon, une "Société" au statut d'association qui a, comme par hasard, remporté l'appel d'offres de ladite mairie, d'un montant coquet de 350'000 Euros, selon la presse, (Sympathique somme, pour des futilités totales en pleine période de crise financière !) et au Conseil d'Administration de laquelle on retrouve aussi, comme par hasard, Mme Françoise TENENBAUM, la grande copine de Mr REBSAMEN ! Excellent !
Oh, la jolie petite pelle...teuse, en train de vider sans aucun problème une fosse,
le 24 Octobre 2011, juste en face de l'ancienne tombe de mon grand-père !!!
Et oui... Le "travail difficile" que tout le monde ne veut pas faire ! Certainement pas mettre de simples graviers dans des allées, mais bien... Exhumer des cadavres ! On comprend qu'il faille choisir pour cette difficile tâche des personnes en réinsertion à la SDAT, un peu débiles de préférence, c'est à dire "des personnes qui ne pourraient pas travailler ailleurs", comme me l'a confirmé la juge BAILLARGEAUX elle-même avec un phénoménal culot, le 11 Janvier 2013 !
Non, non, Mesdames et Messieurs, même si vous lisez bien "exhumations" ci-dessus... Vous hallucinez !!! Faites comme m'a dit l'avocate que j'ai eue un temps et que je croyais bêtement de mon côté : "C'est juste une pub, Mr MEDINA, n'en tenez pas compte". (Je croyais pourtant depuis toujours qu'une "pub" servait à vanter les services proposés par une entreprise. Sauf dans ce cas précis, alors ???!!! Et je croyais aussi bêtement que les avocats étaient du côté de leurs clients ! Mon Dieu, quel imbécile j'ai pu être !...)
Encore plus fort : On apprend de la “justice” que, contrairement à toutes les autres villes de France dans lesquelles la vie est régie par la loi républicaine, Dijon semble échapper à cette règle pour une raison “indéterminée”. Si l’on comprend bien les inepties du Parquet, Dijon serait une sorte d’enclave, de petit royaume dans lequel le Monarque quasi absolu que serait le bon Sire François “DE REBSAMEN” pourrait tout se permettre et donc, abuser de tous ses pouvoirs, puisque à la lecture du réquisitoire de “non lieu”, nous comprenons qu’à Dijon, nous ne vivons plus sous la loi républicaine, mais sous les “coutumes” nouvellement édictées par le bon Roy à ses bien soumis sujets ! Des “coutumes” ?! Comme dans la jungle ?! On nage en plein rêve ici !

Comme je l'ai dit plus haut, des faits similaires ont pourtant déjà été jugés ailleurs en France, notamment à Lille en 1998. Plusieurs jurisprudences existent donc en la matière. Mais non, il semblerait que Mr REBSAMEN soit, lui, dispensé de respecter la loi comme les autres. De droit divin ou maçonnique, peut-être ?! Il s’agit pourtant bien ici d’un ABUS DE POUVOIR de sa part, car en faisant remuer en toute illégalité la terre de l’un de mes morts, le Sénateur-Maire REBSAMEN a clairement OUTREPASSÉ SES DROITS et engagé sa responsabilité pénale. Il s’agit ici d’une VOIE DE FAIT ignoble de la part d’un maire et de ses services qui ne se sont, de surcroît, excusés de rien ensuite ! Il s’agit d’une atteinte aux libertés individuelles et aux pratiques cultuelles de toute une famille. En outre, il s’agit d’une violation caractérisée d’un DROIT IMMOBILIER sur une PROPRIÉTÉ PRIVÉE. Une propriété privée qui n’est pas n’importe laquelle : Une SÉPULTURE ! Il s’agit donc d’une VIOLATION DE SÉPULTURE qui relève des articles 225-17 et suivants du nouveau Code pénal, et même d’une PROFANATION de celle-ci, compte tenu de ce qui y a été perpétré ! Cela revient à être propriétaire d'une petite maison dans laquelle on ne se rend pas chaque jour et à découvrir, en y allant une fois, que la maison en question a été subitement rasée par la mairie pour y mettre un immeuble à la place ! C'est exactement la même chose !

Mais il y a plus affreux encore dans cette histoire de profanationS de sépultureS pas très claire, désormais devenue la MASCARADE D’UN ÉTAT CORROMPU !... Une affaire qui ne peut absolument pas être une simple “ERREUR”, car une erreur ne saurait se reproduire plusieurs fois ! Or, les attaques sur cette tombe n’ont eu de cesse entre 2010 et 2015. De même, il aura fallu qu’en 2012, une demande de renouvellement de concession (échue, celle-là), libellée à mon nom, arrivât sur le bureau de Mr Alain MILLOT pour que l’on commençât à constater d’autres attaques récurrentes sur cette seconde sépulture pourtant restée en paix durant quinze ans ! Il y a aussi les saletés déposées dans notre boîte aux lettres, la redisposition très glauque des objets funéraires sur TROIS tombes et bien plus encore... Mais il y a surtout ce film qui a rendu depuis des mois toute l’administration totalement APHONE ! Un film montrant la terre de la première sépulture, à nouveau retournée et bêchée, en plein gel de janvier, six mois après la première profanation par les Services REBSAMEN et juste un mois après la constitution de ma partie civile !

Quant aux dossier : 35 mois d’attente pour une recherche qui prend une matinée et deux auditions d’environ 2 heures (la mienne et celle de Mr Ali BOURENANE, un témoin fantoche de dernière minute dont le nom sert juste à ne pas écrire celui des vrais responsables et qui se présente sans avocat, car évidemment il a reçu l'assurance qu'il ne serait inquiété de rien, en remerciement de son bon service rendu ! Et il n'est pas à un service près, d'ailleurs !). Et c’est tout ! Entre temps : De l’attente, du vent ! Pour des conclusions finales en 2013 correspondant, comme par hasard, à ce que l’administration nous suggérait bien sûr de faire dès 2010, soit avant même que je ne fusse partie civile... La grandiose comédie planifiée dès le premier jour ! Et ne parlons pas de mes pièces, démonstrations et preuves : Toutes mises “au panier” ! Une personne interrogée à la place d’une autre, une seconde qui ne s’est jamais présentée à une convocation sans que cela n’alertât personne ! (Et oui, il paraît que Mr Sylvain NAUDIN était "sans doute" hospitalisé... Pendant trois ans !) Et plus fort : Une nouvelle magistrate arrivée en cours de route pour remplacer la précédente, après un silence de 5 mois suite au dépôt du fameux film compromettant : Mme Laurianne BAILLARGEAUX qui a systématiquement rejeté toutes les demandes de la partie civile (= la victime, je le rappelle !), ne m’a pas signifié mes droits essentiels (pour que je ne les exerçasse pas, j’imagine ?!) et dont le nom complet, accompagné des mots clés “tribunal” + “dijon”, renvoyait durant au moins deux ans sur le moteur GOOGLE à des documents clairement socialo-communistes, notamment des pétitions à signer en ligne. Et j'ai plus de 90 copies d'écran en lieu sûr pour le prouver ! Or, je rappelle que Mr REBSAMEN, ici mis en cause, est lui-même socialiste et surtout bien protégé par tous ses copains de loges, infiltrés partout ! Cherchez l'erreur !...

VOICI MAINTENANT LE FAMEUX FILM QUI REND TOTALEMENT MUETTE TOUTE L'ADMINISTRATION FRANÇAISE DEPUIS CINQ ANS !!!

Le 21 Janvier 2011, soit six mois après la première profanation et un mois seulement après la constitution de ma partie civile, je décide d'aller au cimetière avec ma grand-mère, afin de constater si de nouvelles saletés y ont été perpétrées. Ce jour là, la température extérieure avoisine les 9° ou 10° EN DESSOUS DE ZÉRO. Il fait donc un froid glacial et, sur ce film, j'ai même du mal à parler, tant mes lèvres sont gelées sur place. Mais, pour autant, cela n'effraie ni ma grand-mère ni moi. Nous partons donc sur les lieux. Plusieurs jours auparavant, de la neige est tombée sur Dijon. Sur le film, vous verrez d'ailleurs des restes de poudreuse sur les côtés des tombes. Il a beaucoup gelé les nuits précédentes. Normalement, nous aurions donc dû trouver comme d'habitude à l'arrivée : Une terre compactée depuis six mois, jaunie car décolorée par les rayons du soleil et par la lune. Et surtout, une terre particulièrement dure "comme du béton", compte tenu du gel prolongé au dehors. Et bien non ! Rien de tout cela ! Figurez-vous, Mesdames et Messieurs, qu'en arrivant devant la tombe de mon grand-père, nous découvrons, médusés, que la terre est parfaitement molle, car elle vient d'être retournée et bêchée de très fraîche date, sûrement du matin même, puisqu'elle n'a pas eu le temps de geler à nouveau ! Il s'agit d'une terre nouvelle, car elle est d'aspect très foncé, alors que celle des autres tombes à côté, vous le verrez, reste jaunâtre et surtout, dure comme de la pierre ! Mais dans celle qui recouvre ce qui reste de la tombe de mon aïeul, ma grand-mère peut plonger aisément la main pour remplir un sac, en quelques secondes ! Le travail est tellement frais que l'on voit encore les traces d'un instrument, genre râteau, ayant servi à niveler la surface. La couche de gravette autrefois en place n'est même plus présente ! Ils ont dû être pris de court, et nous avons dû arriver sur les lieux avant même que la magouille ne fût terminée et complètement maquillée !!! Les mêmes sont donc venus ici remagouiller quelque chose dans cette tombe. Etant revenus sur les lieux de leur méfait pour cacher quelque chose de compromettant, (dont on connaît aujourd'hui la nature = une exhumation illégale !) ceci prouve donc de manière évidente que ce qui s'est produit au printemps 2010 n'est en aucun cas une erreur. Car une erreur ne se produit qu'une seule fois, pas plusieurs !

Après avoir fait ce film, je l'ai immédiatement transmis à la juge Christine PARGUEL qui avait commencé à travailler sur ce dossier. Mais, à la suite de cette transmission de pièce pourtant essentielle et flagrante de signification, le tribunal est devenu totalement muet pendant plus de cinq mois. Au bout de ces cinq mois, j'ai découvert, stupéfait, que la magistrate en charge de ce dossier avait changé et était désormais la juge Laurianne BAILLARGEAUX. La raison de ce long silence suivi d'un changement de magistrate reste, à ce jour, totalement inexpliquée ! Tout comme le fait que l'on ait confié en Août 2010 notre première audition de police au Capitaine Franck VAURIS de la Brigade financière (!!!), afin de "traîter" - nous avait-il dit, à l'époque - "ce dossier SENSIBLE" ! En quoi une Brigade FINANCIÈRE est-elle compétente en matière de profanation de tombeau ?! Et en quoi une "simple erreur" pourrait-elle constituer une affaire "sensible" ? Ceci est également un grand mystère ! Comme d'autres encore... Par exemple, le fait que Mr VAURIS savait très exactement qui j'étais, en entrant dans les locaux de la police, alors que nous ne nous étions jamais rencontrés auparavant (Rien d'étonnant, puisqu'il paraît qu'à cet endroit traîne déjà un bon petit catalogue de "fans" à mon sujet !!!). Le fait que Mr VAURIS m'ait aussi posé une question, la veille par téléphone, au sujet de mon oncle qui travailla plus de trente ans à la Cour d'appel de Dijon au service des différents Procureurs généraux qui s'y sont succédés ! Quel rapport avec l'affaire ?! That is the question, Mister SHAKESPEARE !


VOICI DONC LE FILM DU 21 JANVIER 2011, SUJET D'UN LONG ET TOTAL SILENCE ADMINISTRATIF QUI PERDURE ENCORE FIN 2015 ! SACHANT QUE CECI N'A SUSCITÉ AUCUNE RÉACTION JUDICIAIRE DEPUIS CINQ ANS, MA FAMILLE EST DÉSORMAIS EN DROIT LÉGITIME DE PENSER QUE CECI A ÉTÉ PERPÉTRÉ À LA DISCRÉTION DE LA JUSTICE, VOIRE SUR ORDRE DE CELLE-CI ! CAR IL ARRIVE UN MOMENT OU IL NE FAUDRAIT PAS SE FOUTRE DAVANTAGE DE LA GUEULE DES VICTIMES, TRES CLAIREMENT !
Mme la juge Laurianne BAILLARGEAUX, ce sont aussi : Trois faux prétextes, plus pathétiques les uns que les autres, en 3 mois de temps, dont 2 prétextes différents dans une seule et même ordonnance pour me refuser strictement la même chose : L’ouverture de la tombe et l’analyse de son contenu, bien évidemment !... Du jamais vu au cours de ma vie ! Selon elle, rien de ce que je peux dire ou demander n'est nécessaire "à la manifestation de la vérité". Par contre, quand je demande pourquoi, elle est incapable de l'expliquer ! Seules comptent les paroles venteuses d'un témoin sorti du néant au dernier moment, alors qu'il n'existait nulle part en 2010 et 2011 !... Des paroles bidons sans aucune preuve matérielle pour les corroborer. Celle d'un type comme par hasard licencié tout récemment par la SDAT, officiellement pour absentéisme et alcoolisme. Sauf qu'en général, un licenciement peut rudement arranger quelqu'un que l'on accuse d'absentéisme, c'est à dire qui en a ras la casquette d'aller à son travail ! Surtout quand le licenciement est rondement négocié !... Quant à l'alcoolisme, c'est une condition pour être pris en charge par la SDAT ! Cherchez la faille !... Mais puisque Ali BOURENANE a dit des sornettes du genre : "J'ai déplacé les objets, mais j'ai pas fait exprès, M'dame ! Je savais plus comment les remettre, M'dame !", alors c'est forcément la vérité pour la justice... Au diable les pièces et preuves de la partie civile, puisqu'il est combiné d'avance, dès le premier jour, que ce dossier doit être totalement étouffé !!! D'ailleurs, à ce propos, un adjoint de Mr REBSAMEN a eu le culot de dire à un membre de ma famille, il y a quelques mois de cela, que "cette affaire, de toute façon, était classée". Classée ?! Avant même que tous les recours de la procédure n'aient été épuisés ??? Ah bon... Et comment sait-il que cette affaire est "classée", à moins que ce "classement" ne soit effectivement combiné depuis toujours par toute l'administration de mèche, comme nous le savons désormais ? Quelle Commedia dell'arte ! Mais nous n'en resterons pas là, assurément !

CONCLUSION : Vous mettez toute votre confiance en ce que vous croyez être la justice et, en retour, celle-ci vous ment, se fiche de vous et essaie de vous faire prendre des vessies pour des lanternes ! Ceci est un véritable ABUS DE CONFIANCE envers le Citoyen ! Sachez, en outre, que l’Elysée est au courant, et ce, depuis la Présidence SARKOZY, ainsi que tous les médias locaux et nationaux, y compris Mr Edwy PLENEL de Mediapart ! Tous se taisent et gardent le silence sur cette affaire ! Même l’Office National des Anciens Combattants (ONAC) a lamentablement baissé sa culotte devant Mr REBSAMEN ! (Pour ne pas perdre sa petite subvention annuelle, j’imagine ?!)

MAINTENANT, VOICI LES TROIS FAUX PRÉTEXTES DE Mme BAILLARGEAUX POUR ME REFUSER L'OUVERTURE DE LA TOMBE ET L'ANALYSE ADN DE SON CONTENU (On imagine bien que la magistrate et le reste de cet Etat clairement COMPLICE de ces faits ne tiennent surtout pas à ce que l'on découvre, à l'ouverture du tombeau, que non seulement le corps qui s'y trouvait à l'origine a disparu, mais qu'en plus, quelque chose d'autre se trouve à la place !)

PREMIER FAUX PRÉTEXTE : "Vous comprenez, Mr MEDINA, on ne peut pas ouvrir une tombe comme ça, car c'est une opération lourde". (Laurianne BAILLARGEAUX, 11 Janvier 2013, en son bureau).

Assez pathétique raison, il faut bien l'avouer. Mais ceci est surtout très étonnant, lorsque l'on sait que, par principe, on ouvre quasiment chaque jour ouvré des tombes dans ce cimetière pour les naturels besoins des inhumations qui s'y déroulent ! On exhume également des corps, selon les mêmes principes et les mêmes techniques, dans ce même cimetière et vous avez pu voir plus haut que ceux qui sont chargés de ce "difficile travail" ne manquent absolument pas de matériel pour accomplir leur tâche classique !

SECOND FAUX PRÉTEXTE AU DÉBUT DE L'ORDONNANCE DE REJET DE DEMANDE D'ACTES DU 12 MARS 2013 : "L'exhumation du corps d'un défunt constitue une exception au principe de l'immutabilité des sépultures, qu'elle ne peut donc constituer qu'une mesure exceptionnelle en ce sens qu'elle porte atteinte au respect de la paix des morts..." (Laurianne BAILLARGEAUX)

Épatant !!! Parce que, ce que Mr REBSAMEN et ses Services font subir depuis cinq ans à plusieurs de nos tombes, mais également à des dizaines et des dizaines d'autres sépultures dans ce même cimetière, est respectueux de la paix des morts, peut-être ?!!! Vous avez pu voir plus haut à quel point tout cela est respectueux pour nos défunts. On hallucine !... Et si, vérifier légitimement qu'un corps se trouve encore dans une tombe qui a subi plusieurs incuries illégales d'une mairie et dont la terre a été plusieurs fois retournée n'est pas nécessaire à la manifestation de la vérité, alors que c'est le maillon essentiel qui peut tout prouver, dans ce cas : Qu'est-ce qui est essentiel à la manifestation de ladite vérité, je pose la question ?! Raconter des bobards ?!

TROISIÈME FAUX PRÉTEXTE, DIFFÉRENT DU PRÉCÉDENT, MAIS FIGURANT À LA FIN DE LA MÊME ORDONNANCE (Je n'ai encore jamais vu cela de ma vie, dans un acte de "justice" ! Cela dépasse l'entendement !) : "Les doutes seuls de Mr MEDINA ne permettent pas d'ordonner l'ouverture de la tombe de son grand-père et l'analyse ADN de son contenu". (Laurianne BAILLARGEAUX)

Mes doutes seuls ??? Quelle honte, quel mépris ! Rappelons tout de même que mes soi-disant "doutes seuls" sont en fait des certitudes corroborées par de nombreuses preuves matérielles, contrairement aux mensonges venteux de la partie adverse ! Seulement, si ceux qui "jugent" prennent toutes mes preuves pour les mettre directement dans la poubelle de leur mépris et de leur indifférence, il est bien évident qu'au final, il ne me reste plus que mes certitudes "seules" !!! Quelle hypocrisie, vraiment !

On m'a récemment fait savoir que mes écritures et mes propos auraient - je cite - « irrité la juridiction au point de lui donner l’occasion de rejeter mes demandes » !

Ceci prouve que, sur la question de l'arbitraire de cette justice et la partialité des magistrats qui l'incarnent, je ne suis pas si farfelu que j’en ai l’air et qu’il semble bien que j’aie raison depuis longtemps, mais c’est surtout gravissime, au final. Car, en somme, la juridiction se serait donc basée sur l’image que je lui renvoie de moi, c'est-à-dire sur le degré d’irritation que je provoque en elle et s’en serait servi comme d’une occasion de rejeter systématiquement toutes mes demandes, au lieu de se baser, pour le faire, sur les faits et sur le droit, comme la loi le dit. Il semble donc bien avéré que, depuis le début, tous les arrêts rendus dans ce dossier, le sont de manière totalement partiale et arbitraire. Ce n’est donc pas, ici, une justice neutre et impartiale à laquelle la partie civile a affaire. Ce n’est que de la mansuétude et de la complaisance envers les vrais coupables dont il faut protéger la grande carrière politique ! En clair, tout cela est totalement ILLÉGAL et aux antipodes des fondements mêmes de notre justice.

Au cours de cette soi-disant "instruction", Mme BAILLARGEAUX a commis envers la partie civile une faute lourde, car elle n’a pas respecté le droit, en ce sens que lorsqu’elle m’a reçu le 16 Août 2011 en audition dans son bureau, elle aurait dû me signifier mes droits fondamentaux en tant que partie civile, en commençant par m’indiquer clairement que l’article 82-1 de Code de Procédure Pénale m’autorisait pleinement, en ma qualité de partie civile, à demander au magistrat instructeur des auditions de témoins et des confrontations avec ceux-ci. Il ne fait aucun doute que Mme BAILLARGEAUX s’est délibérément gardée de me signifier ce droit pourtant essentiel de la procédure pour que je ne l’exerçasse pas, car dans le même temps, elle n’a pas oublié de me suggérer de clore le dossier au pénal en allant chercher quelque indemnité au civil ! Elle ne me fera pas croire, non plus, qu'en tant que magistrate, elle ne connaissait pas les jurisprudences que j'ai moi-même trouvées, seul, pour servir la défense de mes intérêts, alors que je connais très peu de choses au Droit ! Il est clair que Mme BAILLARGEAUX et tous les autres ne veulent absolument pas d'un débat, car dans ce cas, les parties adverses ne tiendraient pas un quart d'heure face à mes arguments ! Et pourquoi débattre, à leurs yeux, puisqu'il leur faut au plus vite étouffer ce dossier dans l'oeuf ! Or, la méconnaissance de ce droit non signifié a constitué pour la partie civile, au cours de l’instruction, une perte de chance d’exercer ledit droit en cours d’instruction. Ceci constitue une grave irrégularité de la part de l’autorité judiciaire envers la victime qui doit être informée de ses droits par la juridiction.

Sur les délais de latence maintenant : L’article 6 de la Convention européenne rappelle que tout citoyen a le droit que sa cause soit entendue par un tribunal impartial dans des délais raisonnables. Or, dans le dossier MEDINA, les délais d’attente pour la partie civile sont totalement injustifiés en comparaison des actes effectués. On peut tout à fait qualifier ces délais de non raisonnables au regard du peu d’actes judiciaires effectués dans ce dossier et de la simplicité et rapidité de mise en pratique de ces quelques actes. Par exemple, aucun acte effectué durant 17 mois dans ce dossier, incluant la totalité de l'année 2012 ! On se fout de qui ici ?! Il est donc entendu que, compte tenu de ces délais inadmissibles de latence au cours de l’instruction du dossier MEDINA, la partie civile entend adresser à Madame Christiane TAUBIRA, Garde des Sceaux, un recours gracieux en responsabilité de l’Etat pour fonctionnement défectueux du service public de la justice.


Il n’est, de surcroît, pas possible pour les  Services du Parquet de ne pas faire preuve de partialité et mansuétude dans le présent dossier qui implique gravement le maire, garant du respect du repos des morts dans le cimetière dont il a la pleine charge de gestion, et sa mairie, alors que, par sa fonction de maire de la ville de Dijon, Mr François REBSAMEN est lui-même fonctionnaire de la Justice, puisque premier magistrat de la ville. Par ladite fonction, il se trouve donc directement en relation avec les Services de Police, de la Préfecture et évidemment, avec ceux de Mr le Procureur de la République. Or, ce cas précis est déterminé par la Loi, ainsi que ce qu’il convient de faire lorsqu’il se présente à une situation de justice, comme c’est le cas ici. Il n’est pas l’effet de l’imagination de la partie civile, mais bien au contraire, un cas de figure précisément évoqué dans : L’Article 43 du Code de Procédure Pénale. Aussi, la partie civile ne comprend pas que la juridiction n’ait pas assumé ses responsabilités et fait ce qu’il fallait, en connaissance de cause, pour renvoyer le dossier vers une autre juridiction, dès le départ, pour bonne administration de la justice. Enfin si !... Elle croit, au contraire, très bien comprendre qu'il faut garder le dossier ici sous le coude pour mieux pouvoir le traîter de la façon inadmissible que nous avons vue...

Découvrez enfin, pour en terminer avec cette sordide histoire, comment j'ai démonté un à un tous les mensonges sur lesquels repose cette énorme farce judiciaire, en reprenant soigneusement les articles du règlement du cimetière dont Mr REBSAMEN EST LE SEUL SIGNATAIRE ! C'est lui seul qui l'a signé et il n'est même pas foutu de le respecter ! Quelle misère !!! Ce qui prouve, si besoin est, que tout ceci est juste écrit pour le folklore populaire, mais ne sert strictement à rien dans les faits ! Ces mensonges démasqués font l'objet des deux vidéos suivantes, réalisées quand j'avais encore un reste de confiance envers la justice de mon pays, une confiance aujourd'hui totalement évaporée. Ce qui suit est un peu long, mais si ce qui se passe dans cette ville vous intéresse vraiment, alors cela vaut le coup de regarder en entier !
PARTIE 1
PARTIE 2
Question ouverte du 3 Juin 2013 à Mme Claire LÉVY - BARBIER,
Présidente de la Chambre d’Instruction près la Cour d’appel de Dijon

(Toujours sans réponse au 2 Novembre 2015 !!!)


Madame la Présidente,

Puisque vous semblez, à votre tour, cautionner dans votre ordonnance du 28 Mai 2013 le fait qu’arracher les objets religieux d’une seule et même tombe, en détruire certains, en voler d’autres et balancer le reste sur trois tas de terre anonymes différents censés représenter de vraies sépultures, en ayant entre temps recouvert d’une terre provenant d’ailleurs la tombe illégalement ravagée (ce qui constitue déjà en soi une profanation de tombeau !), et carrément exhumé le cadavre qui se trouvait dedans, au mépris de toutes les lois de notre pays, mais aussi des différents codes et autres règlements, et surtout, au mépris des pratiques cultuelles d’une famille et des volontés d’un mort (Et pas n’importe lequel, Madame : Un ancien combattant, de surcroît !) est tout à fait normal, légal et respectueux du repos d’un défunt et de ses ayant droits, vous devez alors trouver tout à fait normal, selon le principe fondamental d’équité entre tous les Citoyens français :

- Que l’on puisse ôter les cailloux déposés par les familles juives sur les tombes de leurs disparus, pour les remplacer par des fleurs au mépris total des pratiques du judaïsme, ou encore,

- Que l’on puisse enterrer les morts musulmans avec les pieds tournés en direction de la Mecque, au lieu de la tête, comme le préconise la coutume islamique ? N’est-ce pas, Madame ? Puisque, en rendant votre ordonnance complaisante à l’égard du Parquet et de Madame la juge Laurianne BAILLARGEAUX, vous nous montrez à votre tour de manière évidente que vous méprisez les pratiques religieuses qui ont cours dans ma famille.

Par conséquent, sur un principe d’égalité de droits entre les Citoyens français, vous devez donc mépriser les pratiques religieuses de toutes les communautés existant en France ? Est-ce bien cela, Madame, que ma famille, outrée par votre décision, doit comprendre en lisant votre torchon du 28 Mai 2013 ? Ou bien alors, vous ne méprisez QUE NOS PRATIQUES, à nous ?! Dans ce cas précis, je vous demanderai, au nom de ma famille, de vous en expliquer plus précisément.


                                                          
********


Il y a, dans ce dossier, de claires connivences administratives avec, en toile de fond, des pressions de l'Exécutif au-dessus de cette parodie de justice. La famille MEDINA, dont les droits ont été bafoués et qui n'a obtenu aucune réponse valable et prouvée à ses questions légitimes et essentielles au bout de cinq ans, demande à nouveau toute la lumière sur cette affaire. Elle va, pour cela, saisir les autorités compétentes afin que soit poursuivi l'Etat français pour la complicité évidente de ses Services dans le but d'étouffer cette affaire devenue gênante, car clairement politique.

La conclusion de tout cela, c'est que les magistrats qui ont "traîté" jusqu'à présent ce dossier, ne savent tellement pas comment me refuser d'ouvrir la tombe de mon grand-père, sachant pertinemment ce qui se passera quand on l'ouvrira, qu'ils ne savent plus quoi dire et finissent par raconter n'importe quoi aux victimes ! Pour preuve : Ils considèrent que tout ceci est un travail "d'embellissement" tout en considérant aussi, dans le même temps, que c'est un "dysfonctionnement" ! (Un mot déguisé pour ne pas dire "voie de fait", bien sûr !) Comment un véritable travail servant à "embellir" (élément positif) pourrait, à lui seul, constituer un "dysfonctionnement" (élément négatif) ?! En clair, cette magistrature dijonnaise est à l'image de notre classe politique agonisante. Elle use des mêmes procédés honteux et déloyaux. Tout cela est véritablement pitoyable, triste à pleurer et indigne de cette haute fonction ! Je crois aussi que la justice est, en France, une sorte de machine énorme qui fonctionne à merveille lorsqu'il s'agit de départager deux camps lambda qui se tapent sur la figure. Mais dès qu'une affaire touche un élu "important" (Enfin... Important dans le théâtre que les hommes se sont inventés pour se donner cette "importance" !), ou un membre de la grande Fraternité .'. , la machine s'arrête et tous les petits copains lèvent les barrières et installent les verrous pour empêcher la vérité d'être sue et que justice soit faite.

Pour l'avoir vécu moi-même, avec les miens, je sais que la justice est d'une redoutable efficacité lorsque vous la gênez et qu'elle veut se débarrasser de vous : Vous êtes, par exemple, reçu par la magistrate le vendredi 11 Janvier et vous avez son compte rendu dans votre boîte, dès le samedi 12 Janvier, soit en 24 heures chrono ! Encore plus fort que FedEx, UPS et DHL réunies !!! En revanche, lorsque vous faites appel, juste derrière, de la réponse hallucinante que vous recevez, en apportant pour votre défense de solides arguments qui posent un réel problème aux plans de la juridiction, des plans du genre étouffer l'affaire par exemple, alors vous attendez ensuite durant d'interminables mois une hypothétique réponse qui n'en finit pas d'arriver ! Le temps nécessaire à la juridiction de trouver une nouvelle magouille qui lui permettra de se débarrasser à nouveau de vous sans aucun état d'âme ! Ceci n'est pas une manière de traîter des victimes, ceci n'est pas de la justice !

Pour être clair et, au risque d'être un peu cru : Je n'ai jamais été autant pris pour de la merde au cours des années écoulées qu'au 13, Bd Georges CLEMENCEAU à Dijon, c'est à dire à la Cité judiciaire, où je me suis pourtant toujours présenté en tant que VICTIME et on ne peut plus correctement. Désormais, je n'ai plus aucune confiance en cette justice, ni en ce pays dévoyé, car les pseudo juges n'appliquent la loi qu'à la manière d'une carte de restaurant, c'est à dire comme ça les arrange. J'ai pourtant longtemps cru en eux ! En revanche, je garde une confiance farouche en la LOI, car elle, est très claire et surtout, elle ne change pas au gré des vents ou d'intérêts obscurs !

QUELQUES CITATIONS ÉPATANTES, POUR FINIR !

« La loi doit s'appliquer à tous »
François REBSAMEN (PS), le 13 Novembre 2013
dans l'émission de Ruth ELKRIEF sur BFMTV
(Bonne nouvelle... Elle va donc pouvoir s'appliquer à lui aussi !)

« Quand on s’attaque à un cimetière, on s’attaque à la République »
Manuel VALLS, ancien Ministre de l’Intérieur (PS)
Discours de La Rochelle, 24 Août 2013

« Ne rien faire, c'est nous rendre complices »
Alain JUPPÉ, ancien Ministre (RPR puis UMP)
2 Septembre 2013

« Un pays qui ne respecte pas ses morts n’a plus d’avenir »
Bruno GOLLNISCH (FN)

« La République exemplaire, c'est faire en sorte
que la justice soit la même pour tous »

Olivier FAURE (PS), le 18 Avril 2014 sur BFMTV

« Quand il y a faute, il faut qu'elle soit sanctionnée »
Roger KAROUTCHI (UMP), le 18 Avril 2014 sur BFMTV

© FRANCK MEDINA 2011-2013-2014-2015 - TOUS DROITS RÉSERVÉS
REPRODUCTION, MÊME PARTIELLE, INTERDITE SANS AUTORISATION DE L'AUTEUR.
Oui, tout ce beau club de menteurs invétérés dont ma famille toute entière a dû supporter les balivernes plus grotesques les unes que les autres, depuis cinq ans, a tellement raconté de salades ici et là, revenant parfois sur ses propos, changeant ses versions au fil du temps, qu’il est allé jusqu’à se vendre lui-même et avouer à demi mot son méfait illégal dans la tombe de mon grand-père, à travers un procès verbal de 2011, que je n’ai découvert qu’en 2013 (!!!), et encore… Au hasard d’une photocopie pas vraiment prévue ! (Au passage : Voici de quelle manière on fait croire à la partie civile qu’elle a un accès réel et complet au dossier d’instruction ! Encore un abus de confiance de plus de la part de cet Etat envers les victimes !!!)

Voici donc l’énorme idiotie que tous ces menteurs ont réussi à nous coucher officiellement sur papier (Ceci figure dans le réquisitoire du Parquet !!!) :

« Désormais, seules les tombes échues depuis plus de deux ans bénéficieront de travaux de réfection. » (Procès verbal 2011 / 013609 / 05).

Avez-vous vu l’erreur monumentale et grossière dans cette phrase ? Voici la réponse :

Les tombes échues depuis plus de deux ans sont celles qui, de par la loi, sont automatiquement reprises par les communes sans autre préavis aux familles ! Aussi, elles sont vouées à une destruction imminente, elles sont obligatoirement vidées de leur contenu par les communes et donc rasées de la carte, afin de rendre les places à nouveau disponibles pour de nouvelles inhumations à venir ! Par conséquent, absolument personne ne serait assez stupide pour gaspiller du temps, mais également beaucoup d’argent à effectuer des travaux de RÉFECTION à un endroit que l’on va incessamment DÉTRUIRE DE DROIT ! Du grand n’importe quoi !!! Et faut-il comprendre, dans ce procès verbal, qu’avant l’affaire MEDINA, les tombes qui bénéficiaient de travaux de « réfection » étaient les concessions échues depuis MOINS de deux ans ?! Hallucinant !!!

Quoiqu’il en soit, je ne vois pas ce que cela change ici, pour le cas de la partie civile : En 2010 et même, par extrapolation, jusqu’au 21 Mai 2014, la tombe de Mr MEDINA n’était pas concernée, ni par le premier cas, ni par le second ! De toute évidence, ce que le procès verbal confirme assez bêtement, il faut bien le dire, mais on ne peut plus clairement, c’est que ces soi-disant travaux de réfection (impossibles sur tombes échues, mais pourtant bien réalisés !) sont bel et bien des REPRISES ADMINISTRATIVES DE SÉPULTURES qui nécessitent donc obligatoirement l’EXHUMATION DE LEUR CONTENU  !

Tout ceci n'est pas étonnant, quand on sait qu'en certains lieux, on apprend à des "initiés" à pratiquer la chose suivante sur les Citoyens : "Mentez-leur, mais choisissez un mensonge énorme, car plus il sera gros, plus il aura des chances d'être cru !"  Ca fait plaisir, non ?! Sauf que nous, nous refusons d'être leurs débiles de service !



Un détail : Le Destin aura voulu que je naquisse vingt jours seulement après la mort de ce collabo. Ce n’est sûrement pas pour rien, car je crois profondément en les desseins du Destin !...
 
FRANÇOIS REBSAMEN
OU LE RAVAGE DU CUMUL DES MANDATS
ET LES CONSÉQUENCES DÉVASTATRICES
DES LUBIES D'UN MAIRE SANS MESURE NI LIMITE.
VOICI LA VÉRITÉ SUR UNE TRÈS EMBARRASSANTE AFFAIRE QUE
TOUTE L’ADMINISTRATION (JUSTICE COMPRISE !) ÉTOUFFE DEPUIS CINQ ANS ET QUE VOUS N’ÊTES PAS PRÈS DE LIRE DANS LES CELEBRES QUOTIDIENS DE PRESSE !!!
ALLELUIA ! LA PRESSE INTERNATIONALE ET FRANCAISE EN PARLE ENFIN !!!
http://fr.sputniknews.com/french.ruvr.ru/2014_10_13/Profanation-Rebsamen-et-la-sepulture-du-soldat-Medina-2546/
http://www.dreuz.info/2014/10/francois-rebsamen-affaire-de-profanation-de-tombe-a-dijon/
http://www.enquete-debat.fr/archives/francois-rebsamen-et-laffaire-de-profanation-de-tombe-a-dijon-25259/

S'IL VOUS PLAÎT, SIGNEZ ICI LA PÉTITION - MERCI POUR VOTRE SOUTIEN PRECIEUX !
http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2014N46951
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